1. L'Aurore d'une autre vie (15)


    Datte: 07/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... content de ce traitement car sa peau s’érigeait en milliers de petits picots et son vagin transpirait de plus en plus le désir. Mon annulaire se joignit à la fête pendant que mon index continuait de caresser les petites lèvres à présent bien ouvertes. Aurore commença à geindre et je mis ma main valide sur sa bouche pour l’empêcher d’y aller trop fort. Je l’avoue, si faire glisser mes doigts était agréable, je préférais quand même de loin faire glisser ma queue. Pendant ce préliminaire, je ne pouvais pas empêcher mon bassin de se coller à sa cuisse et d’y frotter mon membre droit et rigide. Il toucha même sa vulve après que j’eusse ôté mes doigts, et la chaleur du vagin se faisait sentir dessus. Ma cousine cracha dans sa paume puis me la présenta ; je crachai à mon tour. Le contenu se retrouva étalé partout sur mon sexe dans de délicieuses caresses à une main. Puis sans que je comprenne, Aurore éteignit la lumière, passa une cuisse par-dessus moi, m’empoigna le vît et toucha son sexe avec mon gland. L’excitation était totale pour nous deux : c’était le grand moment ! Doucement, en nous regardant, les deux mains sur le matelas, ma cousine s’assît. La différence était flagrante. Chaleur, douceur et humidité étaient les maîtres mots, pénétrer Aurore ce soir-là relevait du paradis. Je m’attendais à quelque chose de très bon, mais là ça dépassait l’entendement. J’avais la sensation d’être… masturbé dans de la soie. Inutile de préciser que je manquai de râler fort de plaisir et ...
    ... de surprise. Cette fois-ci, ce fut Aurore qui mit sa main devant ma bouche. Elle, elle restait plutôt calme même s’il lui prenait de soupirer fort. Sans brusquerie, ma cousine commença à mouvoir son corps. Dès les premières caresses de nos chairs, elle se mit à glousser. Pour éviter de râler, nous nous donnions de grands baisers. Tantôt je saisis les cuisses de lajeune femme, tantôt les hanches, les fesses, la taille, les côtes mais surtout ses seins. Toutes nos inquiétudes s’étaient évanouies. Nous ne vivions plus que l’instant présent, trop occupés et heureux de faire l’amour dans cette chambre. Nos sexes continuaient de s’entendre parfaitement, avec fluidité, régularité, dans la tranquillité. Ils ne faisaient presque pas de bruit, de rares petits clapotis peut-être. Le lit ne remuait pas, ou si peu ; Aurore y allait très doucement, car il y avait quand même une chambre à côté. Nos soupirs étaient retenus, mais audibles quand même ; tant de plaisir était impossible à contenir. Mon sexe me faisait mal tant il était dur, mais en même temps ça me procurait un bien immense. J’embrassais Aurore avec la langue du plus fort de mon cœur. Je n’avais pas fait l’amour depuis longtemps, et en plus c’était sans préservatif maintenant ; inutile de dire que j’éjaculai rapidement. Un réel orgasme, qui me fit frissonner ! Alors que ça venait, ma cousine fit bien de me couvrir la bouche ; mon râle avait besoin de sortir, et mon sperme se jeta au fond du vagin de la belle jeune femme en de ...
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