Parfois, il faut forcer le destin... - Histoires de Sexe

Parfois, il faut forcer le destin...

... tout cas, de voir tes petits tétons pointer comme ça.— Calme-toi ! Tu ne vas pas encore me sauter dessus comme tout à l’heure ?!— Je croyais que ça t’avait plu !— Si, bien sûr que c’était bien ; mais j’avais plutôt pensé à une longue étreinte avec des préliminaires qui durent un peu.— Moi aussi, je voulais faire durer plus longtemps et en profiter pleinement ; mais ta tenue m’a mis dans un tel état que je n’ai pas pu me contrôler.— C’est dommage ; pour toi surtout. Car j’avais prévu de te faire une belle et longue fellation pour te montrer comme je suis douée avec ma bouche. Parce que la dernière fois, on avait un peu fait ça à la va-vite.— On peut toujours se rattraper maintenant, si tu en as toujours envie. À ces mots, j’ai attrapé sa main et je l’ai posée sur mon entrejambe pour qu’elle caresse mon sexe au travers de mon jean. Elle s’est laissée faire et en a profité pour m’embrasser langoureusement. — D’accord, mais on fait ça selon mes règles : tu fais ce que je te dis, et interdiction de jouir tant que je ne t’y ai pas autorisé. Nous sommes bien d’accord ?— Tout à fait ! Habilement, elle a défait le zip de mon pantalon et en a extrait mon sexe encore mou. Pour plus de confort, j’ai fait glisser mon jean et mon boxer à mes chevilles pendant qu’elle enfournait mon engin dans sa bouche. Quelques va-et-vient ont suffi pour que mon sexe reprenne toute sa dimension. — Voilà qui est mieux !— Je suis tout à toi, ma belle. Et c’est alors que commença un ballet interminable de ...

... petits coups de langue sur mon gland, alternés avec des mises en bouche de première qualité tandis que sa main branlait lentement la base de mon sexe. Ce traitement était tout bonnement divin, et bien entendu elle me regardait avec les yeux de la pire des salopes ! Je faisais tout pour me retenir, mais la lutte était dure ! — Ça te plaît ?— Il faudrait être fou pour ne pas aimer !— Des envies particulières ?— Avale-la en entier, s’il te plaît. Sans me répondre, sa bouche descendit le long de mon sexe pour arriver à le masquer complètement. Elle resta quelques secondes dans cette position, puis remonta lentement jusqu’à mon gland. Elle répéta ce mouvement plusieurs fois pour mon plus grand plaisir. — D’autres choses ?— J’aimerais bien que tu la branles entre tes seins… Toujours sans un mot, elle se leva, enleva sa robe pour se retrouver à nouveau en bas et porte-jarretelles. Elle revint s’agenouiller entre mes jambes et saisit mon sexe tendu qu’elle vint coincer entre ses seins. Elle faisait bouger ses seins qu’elle tenait ferment autour de ma verge et me branlait de la façon la plus délicieuse qui fût ! J’avais toutes les peines du monde à ne pas éjaculer, mais elle ne m’en avait pas donné l’autorisation ! Elle dut s’en rendre compte car elle ralentit le mouvement, avec une habileté féroce pour me maintenir sous le seuil de la jouissance. — Et sinon, quels autres fantasmes as-tu ?— J’avoue que, plus jeune, j’aurais bien aimé me taper ma prof’d’Histoire !— Comme beaucoup de ...