Parfois, il faut forcer le destin... - Histoires de Sexe

Parfois, il faut forcer le destin...

... jeunes…— Sinon, le faire dans un train avec une inconnue m’excite pas mal…— Je l’ai déjà fait dans un train, avec mon mari ; mais je dois te prévenir que ce n’est pas le plus confortable si tu le fais dans les chiottes. Après, si tu le fais dans un compartiment, tu risques de te faire surprendre.— Et mon fantasme le plus grand : le faire avec deux femmes !— Ça aussi, c’est celui de beaucoup d’hommes ! À ces mots, elle a recommencé à me sucer avec plus de vigueur. J’étais vraiment au bout de ma résistance : cela faisait près d’une demi-heure qu’elle me suçait ! — Je crois que je vais enfin te laisser te vider. Mais comment veux-tu jouir ? Dans ma bouche, sur mes seins ou sur mes fesses ?— Quel choix cornélien ! Je pense que je vais opter pour ta bouche. Et ce fut parti pour le sprint final. Tout en branlant la base de mon sexe, elle effectuait de rapides mouvements avec sa bouche autour de mon gland. J’ai joui dans sa bouche comme jamais je n’avais joui ! Impassible, elle m’a sucé jusqu’à ce que mon sexe commence à ramollir, tout en avalant ma semence. Une fois mon sexe propre, elle s’est relevée et m’a questionné fière d’elle : — Alors ?— Ouah ! On ne m’a jamais sucé comme ça ! C’était… je ne trouve pas les mots… Merci, en tout cas !— De rien. J’adore faire plaisir quand on me fait plaisir. Continue à manier ta queue aussi bien et tu ne seras pas déçu… C’est alors qu’elle a regardé la pendule du salon et s’est exclamée : — Oh merde, il est déjà 11 h 30 ! Mon mari ne va pas tarder : il faut que tu files ! J’ai attrapé mes affaires et me suis habillé en vitesse alors qu’elle se couvrait de sa robe de chambre. Devant la porte, je l’ai embrassée. — On n’attend pas encore trois semaines avant de remettre ça, hein ?— Non ; je te recontacte bientôt ! File ! J’ai claqué la porte et suis reparti le cœur léger… et pas que le cœur !