Médecin dans une prison de femmes (I)
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
médical,
noculotte,
journal,
... cette femme tout de suite ! Menaça-t-il Il y avait dans les yeux du Directeur la même colère, dure et froide, que dans ceux de mon père lorsqu’il me grondait, exigeant, brisant ma volonté. Je ne puis résister. Je me bats avec la partie mobile de la table, pour la faire basculer. La femme se débat, gémit, enfin j’y arrive. Les étriers glissent dans les tubes de support, mais les vis papillon sont grippées, le Directeur excédé me pousse et d’une main forte fixe les étriers. Je m’aperçois avec horreur qu’il ne quitte pas des yeux le bas ventre poilu de ma patiente, et, lorsque j’essaye de poser les pieds de la femme dans les triangles métalliques, j’entends sa respiration devenir rauque, puissante. Elle résiste, se bat, donnant des coups de pied, réussissant à soulever son bassin avec ses fesses musclées. Madame Chef appelle d’autres gardiennes qui viennent en renfort pour lui immobiliser les pieds en position haute. Je sens la bête qui se réveille, mon souffle est court et me brûle, sa peau est douce, si douce, sa féminité dévoilée, presque obscène. La pilosité est moins abondante sur les grandes lèvres, et la peau est presque brune, bordée de noir, l’arrondi des deux fesses est parfait à peine altéré par l’assise de la table. Je ne dois m’intéresser qu’à son trou, à rien d’autre. Mais bon Dieu ! Ce Directeur qui bave littéralement devant cette intimité interdite, ce Directeur, je n’arrive pas, je ne sais pas, je ne peux pas le renvoyer. Il est trop puissant, trop fort…comme ...
... mon père, comme mon père. La femme est assise en position, totalement nue, les cuisses écartées, maintenue aux épaules et aux jambes par quatre gardiennes, le Directeur s’est positionné face à elle, ouvertement voyeur. J’ai disposé le plateau avec les spéculums, je m’assois sur mon tabouret, me place devant son entrejambe ouvert, j’enfile mes gants, je dépose une noix de vaseline sur le spéculum, avec deux doigts j’écarte délicatement les lèvres, exposant l’orifice vaginal, je mets les bouts du spéculum en place, le fait pénétrer doucement jusqu’au fond du vagin, le cale dans les culs de sacs vaginaux, j’écarte le vagin, bloque la vis. La chair luisante et rose du vagin apparaît, et au fond dans le faisceau de ma lampe, encadré par les langues arrondies et brillantes du spéculum apparaît le col de l’utérus, sa couleur est anormale il est bouffi, sclérosé. Je retire le spéculum, enfile un doigtier et glisse mes doigts dans la fente et, le vagin, je sens les ovaires et les palpe en poussant sur le ventre de mon autre main. Une grosseur sur l’ovaire droit. Sa vulve est chaude, sa peau est douce, si brune, la bête me harcèle, Dieu je dois résister. J’écarte les lèvres, la peau est rose, le clitoris contracté, rien d’anormal cliniquement, mais lorsque les lèvres reprennent leur place et que la vulve se referme sur une fente nette et droite, je sens une bouffée de chaleur m’envahir, comment lutter lorsque je sens le souffle de cet homme dans mon dos, que ces quatre femmes à ses ...