Médecin dans une prison de femmes (I)
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
médical,
noculotte,
journal,
... ordres préfèrent tourner la tête plutôt que de protester. — Il faut l’hospitaliser de toute urgence, déclarai-je en faisant rouler mon tabouret hors du triangle formé par les cuisses écartées de la détenue.— Pour quel motif ? me demande avec hauteur le Directeur.— Monsieur le Directeur, je n’ai pas à vous fournir de motif, son état de santé nécessite des examens complémentaires que je ne peux réaliser ici, lui déclarais-je, tout en pensant que je n’avais pas contrôlé sa poitrine. À présent, Monsieur le Directeur pouvez vous quitter mon cabinet s’il vous plaît ?— Bien ! Je m’en vais déclara-t-il en esquissant un mouvement vers la porte. Je me dirige vers ma patiente, dont le visage crispé me bouleverse, je lui explique avec douceur que je me devais de l’examiner pour son bien. Je lui dis que je dois contrôler ses seins, elle ne se bat plus et reste inerte. Je soulève les bonnets de son soutien-gorge, découvrant deux petits globes de pain d’épice, fins et doux. Mes doigts font rouler les mamelles, au bas de mon ventre la bête a réveillé mon sexe qui gonfle à la vue des petits tétons de poupée, du ventre plat, des yeux de biche dessinés au crayon noir, de l’arrondi parfait du visage enfoui dans le foulard. Je dois garder le contrôle, faire des actes techniques, uniquement techniques, ne pas glisser comme à Nice, ne pas laisser la bête prendre le dessus…la bête si douce, le désir qui monte, l’envie de posséder, c’est fort, trop fort en moi. Une toux derrière moi me fait ...
... sursauter, la bête s’enfuit, le Directeur est encore là, les yeux répandus sur cette femme nue allongée les jambes écartées devant nous. J’exige le départ de tout le monde, et prépare une injection d’analgésique que j’administre à ma patiente. Je ramasse sa culotte à terre et lui tends, elle couvre ses seins, se lève tenant sa culotte en main. Je l’aide, je réalise combien elle est belle et mince, elle s’appuie sur moi, je sens sa peau, son odeur de cannelle, la naissance de ses seins, l’arrondi de sa croupe parfaite. Lentement elle remet sa culotte, je ramasse son pantalon. Je l’aide à s’en vêtir. J’appelle Madame Chef pour qu’on la transporte dans sa cellule sur un brancard. Lorsque le bruit des roulettes de caoutchouc s’éloigne, je comprends que ma lutte est perdue, tout comme mes espoirs, la bête est encore en moi. Lentement les murs de mon bureau s’estompent pour faire place au soleil riant de la Cote d’Azur, le confort cossu de mon cabinet à la Clinique des Rocs : design, matières nobles, matériel dernier cri. Ma secrétaire médicale en uniforme blanc, mes patientes fortunées. Mes patientes si belles, parfumées, enjouées, toujours très détachées des choses de ce monde. J’avais un vestiaire pour qu’elles se déshabillent, une camisole d’examen, mais rien n’y faisait, il fallait qu’elles fassent voir leur lingerie de grands couturiers, quand cela n’était pas carrément sexy. Dieu ! L’examen d’une femme avec un porte-jarretelles et des bas, on ne nous y prépare pas à la fac. Mais ...