Train de nuit, train du désir (2)
Datte: 07/10/2019,
Catégories:
Erotique,
... leclitoris, me rappelant de ma première expérience, dans un train de nuit. Il était assez gros et merveilleusement sensible : chaque balancement lingual causait un tressaillement ou un gémissement. Pourtant, il a fallu peut-être une demi-heure avant qu’elle atteigne l’orgasme, qu’elle n’a manifesté que d’un spasme. Heureusement, nous n’étions pas pressés. Mais elle m’a souri en m’assurant qu’elle était très contente de ce que je lui avais donné. Amis lecteurs, ne soyez pas choqués par ce qui va suivre. M’enhardissant, j’ai tiré sur la ficelle et retiré le tampon. Il a fallu qu’elle comprenne ce que je voulais faire et qu’elle m’aide en expulsant le petit objet imbibé de sang, en actionnant des muscles que je ne connaissais pas. Puis j’ai mis mes lèvres à l’entrée du vagin et aspiré un peu de sa liqueur menstruelle. J’ai croisé son regard : elle était un peu étonnée, mais m’a laissé faire sans protester. Alors j’ai continué, en glissant même un index dans la gaine vulvaire, par curiosité : je voulais en découvrir la chaleur humide et les parois lisses et serrées. Ce faisant, j’ai dû toucher un endroit sensible ; je n’ai su que plus tard que cela devait être le point G. Comme elle aimait cela, elle m’a pris le poignet pour m’empêcher de retirer ma main et mieux me guider dans cette exploration. S’allongeant complètement sur le dos, elle a complètement replié ses genoux et attrapé ses chevilles, cuisses écartées et cambrée en arrière, ce qui a exposé à mes yeux étonnés son joli ...
... trou du derrière, bien fermé, avec un orifice en étoile, brun – rosé, magnifique. En rougissant de son audace, elle m’a demandé d’y mettre un doigt, sans retirer l’autre de son vagin. Bien-sûr, trop content qu’elle me formule une telle requête, j’ai obtempéré. Pour ne pas lui faire mal, il m’a fallu lubrifier mon index, que j’ai ensuite enfoncé le plus loin possible, lentement, en accompagnant mon mouvement de baisers sur la plante de l’un de ses jolis petons. Je ne crois pas que cela ait provoqué un orgasme, mais elle a, du moins je pense, bien apprécié que je m’occupe d’elle comme je l’ai fait. Je ne vois pas pourquoi la plupart des hommes considèrent les menstrues comme répugnantes : ce n’est pas plus sale que n’importe quel liquide organique, et je n’ai pas trouvé cela infect. Il suffit de savoir que c’est l’étrange fluide des femmes fécondes, le tribut qu’elles payent à la perpétuation de l’espèce, parce que quelquefois, elles ont mal. Quand je regarde la pleine Lune, je repense à cet épisode, et à d’autres aussi où l’une m’a permis d’accéder à cet aspect intime de sa féminité. Certes, j’ai tâché le couvre-lit et ma mère n’a pas été contente à cause de cela : il aurait mieux valu positionner une serviette de toilette sous ses fesses avant de procéder. Cela m’a servi de leçon pour la fois suivante. — Je suis désolée, a-t-elle dit en se rhabillant : il faut que j’y aille, sinon mon mari risque de se poser des questions, et je ne tiens pas du tout à éveiller ses soupçons. ...