Audrey
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
coupfoudr,
amiamour,
... de klaxon, je prends la route. Dès que la maison n’est plus en vue, je pose une main sur la cuisse frissonnante, elle se penche vers moi pour quémander un baiser. Je le lui donne furtivement, en regardant la route, puis elle se rassoit et nous discutons de cette nouvelle relation. Je conduis très prudemment, donc lentement, pour être le plus longtemps possible en sa compagnie. Elle me lance une perche en me disant que son homme ne se réveillera pas avant midi demain avec tout ce qu’il a bu. Je lui réponds que je suis dans le même cas, personne de vraiment vivant ne m’attend à la maison. Passer quelques heures tous les deux ne l’effraie donc point et j’en suis très heureux. Nous sommes à la campagne, pas d’hôtel à moins de vingt-cinq kilomètres, je ne sais pas du tout où être à l’aise quand tout à coup je me rappelle que mes parents ne sont pas là et que j’ai les clefs de leur baraque accrochées à celles de mon appartement. Je bifurque et prends une nouvelle direction, Cécile, consentante, ne me dit rien et au contraire vient se lover contre moi en caressant ma cuisse. — Je vais être très à l’étroit dans mon caleçon si tu continues.— Tu n’avais qu’à pas en mettre Trésor, répond-elle du tac au tac. Cela me fait immédiatement penser à l’absence de lingerie remarquée dans le garage. Voilà que mon sexe a pris ses dimensions maximales, je me remue sur le siège pour essayer de le placer dans une position moins désagréable. — Laisse-moi faire Trésor, dit une voix suave. Ses longs ...
... doigts graciles défont un à un les boutons du Levi’s, puis prenant le jean de chaque côté de mes hanches commencent à le descendre, je l’aide en soulevant mes fesses. Arrivé au niveau des genoux, elle laisse tomber le pantalon et s’occupe du boxer qui le rejoint rapidement. — Aussi mimi que dans mes souvenirs, dit-elle, moqueuse, en regardant le gland pointer vers le haut… Au fait tu m’emmènes où ?— Chez mes parents, ils sont abse… Dur de finir la phrase lorsqu’une bouche gourmande s’empare de la tour de contrôle, les lèvres charnues entourent la tête tandis que la langue passe sur la peau tendue et joue avec le méat. Heureusement que je ne suis qu’à quelques kilomètres de la demeure, elle joue avec sa langue, ses lèvres, sans jamais plus le prendre en bouche, mais en le bombardant de dangereuses caresses. Je stoppe devant la grille, je suis détendu, plus de pression due à la route avec une voiture que je ne connais pas. Cécile lève la tête et me dit : — Je suis sympa je vais aller ouvrir, je ne voudrais pas que tu attrapes froid. Je sors de la voiture en remontant mes fringues et je l’attrape par la main jusqu’à l’entrée. Porte fermée, je la plaque contre le mur en l’embrassant, vestes, pulls, chemisier, pantalons, chaussures, tout vole par terre. Mon sexe est collé contre sa toison et nos bassins ondulent en cadence, il n’y a pas de musique mais c’est à un zouk très lent que ressemble notre étreinte. Son sexe vient humidifier le dessus de ma cuisse, je pétris ses adorables ...