La voisine aux longs tétins
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
h,
fh,
fagée,
voisins,
grosseins,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
sm,
piquepince,
inithf,
attirautr,
... décupler mon envie d’elle, cette brave femme à qui on aurait donné le Bon Dieu sans confession… Je l’enfilai d’un coup et la baisai sans ménagement, avec vigueur, à grands coups de reins pour bien faire bouger ses mamelles, ce qui la fit inévitablement grimacer. Entre douleur et fièvre, elle explosa à nouveau de jouissance ; je sentis un flot de mouille bien chaude s’écouler entre ses jambes, humidifier les draps, ne sachant d’ailleurs plus très bien s’il s’agissait de cyprine ou de pisse. Il y en avait partout ; le lit était trempé, et moi avec. J’avais joui, moi aussi, et lorsque je me retirai d’elle, je m’aperçus que la capote avait cédé : j’y avais été tellement fort, avec une telle violence qu’elle n’avait pas résisté aux frottements répétés. J’étais confus, mais heureux ; j’aurais bien recommencé, mais elle me demanda de me rhabiller, de la laisser, refusa encore que je la touche, se réajusta tant bien que mal en préservant ses seins. Je la pressai de questions, essayant de savoir quand nous pourrions nous revoir, m’évertuant à obtenir un nouveau rendez-vous. « Au hasard de la vie… » répondit-elle, énigmatique. Elle ne voulut pas en démordre ni s’engager pour une nouvelle rencontre et me mit pratiquement à la porte. ________________________ Cet été-là, cette expérience se répéta une bonne dizaine de fois, toujours à son initiative, la plupart du temps chez elle et deux fois de suite dans un sous-bois où je l’avais emmenée avec ma R5. La seconde fois, la voiture tomba ...
... en panne et il fallut faire du stop pour rentrer chez nous. À chaque rencontre, toujours le même rituel. Nous commencions par torturer ses seins le plus longtemps possible, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Puis elle m’accordait le droit de la baiser ou même de l’enculer et, plus rarement, elle me suçait. Par contre, elle refusait tout baiser sur la bouche et toute marque de tendresse ou d’affection. Elle ne voulait que du sexe : du sexe violent, profond et sans état d’âme. Par la suite, j’ai déménagé pour mes études, mais lorsque je revenais chez mes parents, c’était toujours avec le secret espoir de m’éclater avec Ginette. Malheureusement, les circonstances étaient rarement favorables pour un tête-à-tête torride. Son mari à nouveau souffrant, cloué au lit, en longue maladie, et ma famille aux petits soins pour moi, pour profiter de mes rares visites. Quatre ans d’abstinence donc, privé de mes tétines favorites, le temps pour la mère Tellier de prendre un peu plus d’âge et pour votre serviteur de se trouver une fiancée. Je n’aurais donc jamais cru téter Ginette à nouveau ! ________________________ Nous étions l’autre week-end chez mes parents quand une dispute éclata avec Maryse. Il faut dire que ma promise est enceinte jusqu’aux dents et très à cran, ces derniers temps. On ne peut absolument rien lui dire sans qu’elle se sente agressée et, ce jour-là, elle avait complètement pété les plombs et s’était monté le bourrichon pour une poignée de pacotilles. Aussi sanguine ...