1. La voisine aux longs tétins


    Datte: 09/09/2017, Catégories: h, fh, fagée, voisins, grosseins, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, piquepince, inithf, attirautr,

    ... qu’elle peut être chaude quand l’envie lui en prend (c’est d’ailleurs pour cela que je l’adore et que nous nous entendons si bien au lit), elle avait été vraiment infecte. Ensuite, sans se démonter, elle avait piqué ma bagnole et s’en était allée sans demander son reste, me laissant le soin d’expliquer à ma mère le pourquoi du comment, qu’il ne s’agissait sans doute que d’un petit mouvement d’humeur… mais le week-end était gâché. Sur ce, dame Ginette, à laquelle cette dispute tonitruante n’avait pas échappé, flaira sans doute le bon plan puisqu’elle ouvrit ses persiennes pour nous faire un petit coucou. Nous discutâmes un bon quart d’heure et elle m’apprit que son mari était décédé depuis l’été dernier, ce que je ne savais pas. — Ah, un homme à la maison, c’est quand même bien… Maintenant tout fout le camp. Elle s’arrangea alors pour insister lourdement sur le fait que la porte de la maison côté jardin était à moitié cassée et qu’elle ne fermait plus à clef : — Il faudra qu’un jour je la fasse réparer. En attendant, une femme comme moi toute seule, on ne sait pas ce qui peut arriver, surtout la nuit. Elle ne pouvait guère en dire plus sans éveiller les soupçons de ma mère qui écoutait poliment et qui tint d’ailleurs à rassurer notre chère voisine. Mais le message était pour moi très clair : la porte resterait ouverte pour que je vienne à la tombée la nuit retrouver Ginette dans son lit. Sans doute voulait-elle que je m’occupe à nouveau de ses grosses tétines. Durant tout le ...
    ... dîner, je fus torturé par les remords.« J’y vais ou j’y vais pas ? » Tromper Maryse avec cette vieille femme, c’était probablement dégueulasse, surtout dans l’état où était ma moitié. Mais après tout, il ne s’agissait que d’amour très physique, et ma fiancée avait peu de chance d’être au courant de cette incartade. De toute façon, ma décision était déjà prise, car j’avais vraiment trop envie de baiser à nouveau Ginette. Une fois tout le monde au lit, j’ai sauté par la fenêtre dans le jardin et je suis allé discrètement chez la voisine. La porte était ouverte et la mère Tellier m’attendait entièrement nue sur son lit, ses longs tétons ornés d’une chaînette qui pendait sur son ventre replet. C’était la première fois que je la voyais ainsi, entièrement nue, à la fois grassouillette et ridée, avec une chatte entièrement glabre. Cette cochonne s’était fraîchement rasé l’entrecuisse. — Allez, viens vite téter Ginette… Avoue que ses tétons t’excitent plus que ceux de ta fiancée. Ce en quoi elle n’avait pas complètement tort. Maryse avait beau avoir une très jolie poitrine, opulente et bien ferme, gonflée en plus par la maternité, elle n’était pas aussi exotique que celle de la voisine. Je pris tout mon temps pour téter avidement la retraitée qui, entièrement vouée au massacre de sa poitrine, ne faisait que m’encourager à la maltraiter. Les gémissements succédèrent aux soupirs, les cris aux gémissements. Elle voulut que je tire aussi très fort sur la chaînette que je lui allonge ses ...
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