Ouarda et la sensuelle lutte des classes
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
photofilm,
Oral
pénétratio,
yeuxbandés,
vengeance,
... avant, celle-là !— C’est ma fiancée, lella Saloua, fait Lotfi avec un tout léger embarras.— Oh, pour sûr… Pas mal la donzelle, dit-elle en lui faisant un clin d’œil ; à voir au lit.— Du garanti, lella Saloua.— Si elle a besoin de leçons, tu m’appelles. La 105, au premier, dit-elle en lui remettant la clé, toujours en fixant Ouarda. Ouarda reste muette, ses yeux fuyant le regard de la vieille. Elle reste indifférente à ce qui se dit à son sujet, et sa pensée est tournée vers les quelques milliers de dinars qu’elle allait empocher dans quelques jours. Un peu trop, même. Les clés dans la main, Lotfi pousse le rideau et s’engage dans l’escalier. Ouarda lui emboîte le pas, poursuivie par les yeux de la vieille fouine. Les marches se terminent dans un petit couloir sur lequel donnent cinq portes. La clé tourne, la porte s’ouvre, deux corps enlacés entrent. Ouarda a un battement de cœur. À côté d’elle, Lotfi bande comme un âne et veut en découdre tout de suite. Il ferme la porte, met le verrou de l’intérieur et, en se retournant, il la prend dans ses bras. Elle ne doit pas lui peser plus qu’une paille à un étalon. Comme toutes les chambres deLa Marquise, la 105 ne doit pas faire plus de deux mètres sur trois. À peine y a-t-il place pour un lit de fortune, un lavabo et une cuvette. Pour les rangements, une petite étagère encastrée et un porte-manteau au-dessus du lit. De vieux rideaux en coton bordeaux dissimulent une fenêtre aux jalousies entrouvertes qui donne sur la rue. Des ...
... relents de friture remontent d’en bas et ajoutent une couche au désastre ambiant. Sous la prise impeccable de Lotfi, Ouarda fait semblant de se défendre ; mais dans les faits, elle se laisse facilement aller. Elle aime en lui cette force brutale, cette attitude sauvage, cet empressement d’animal en rut. Il approche sa bouche et elle mord dans ses lèvres, grosses comme des figues sèches, noires et écaillées. Elle pousse sa langue dans sa bouche, il se met à la sucer. Les langues s’entremêlent et les salives foisonnent. Il la remet sur pieds, la colle contre lui. Constatant le membre dur de Lotfi contre son ventre, elle sent se multiplier en elle les foyers du désir. Son corps frémit, ses jambes se raidissent. Elle met une main sur la bosse de Lotfi et constate sont état de turgescence. — Suce-moi, salope, lui crie Lotfi en lâchant sa bouche. D’un geste rapide et gracieux, elle plie les jambes, déboutonne la braguette, écarte le slip. La queue de Lotfi jaillit comme un ressort qu’on détend. Elle est grande, belle, toute rouge. Elle la parcourt de bas en haut du bout de sa langue puis, d’un coup, elle prend le gland dans sa bouche, le sirote. Petit à petit, elle avale la belle queue jusqu’à la mettre entièrement dans sa bouche, puis elle la fait coulisser entre ses lèvres tout en chatouillant les couilles du bout de ses ongles. Lotfi ferme les yeux et se laisse adoucir par la tendresse d’Ouarda. Sentant monter en lui la course des spermatozoïdes, il lui crie : — Doucement… arrête… ...