1. Ouarda et la sensuelle lutte des classes


    Datte: 27/10/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, photofilm, Oral pénétratio, yeuxbandés, vengeance,

    ... viens. D’un geste brusque, il la prend dans ses bras et la dépose sur le lit. Elle a encore tous ses vêtements. Elle enlève son chandail, il lui fait glisser le pantalon. En simple culotte, elle est sublime. La culotte glisse, les nymphes luisent sous la terne lumière de la lampe de chevet. Sans attendre, il se met sur elle, pousse sa queue au plus profond et commence à aller et venir avec tous ses muscles. La cavité est chaude, serrée et mouillée. La grosse bite trouve assez de place pour coulisser suavement. Se sentant remplie, Ouarda commence à miauler doucement, puis à geindre. Lotfi replie son torse sur elle et lui offre sa bouche. Elle se met à l’embrasser, à la laper frénétiquement. En bas, une rixe s’engage entre ivrognes. Saloua appelle la police, et la patrouille mobile intervient une demi-heure après. Tout cela s’est passé dehors, sans importuner le moins du monde le couple en action. Ils ne s’en sont même pas rendu compte. Soudain, Ouarda sent frémir son corps en entier. Des ondes de spasme lui traversent le corps. Des longues mèches de ses volumineux cheveux, foncés par la sueur, lui collent au front et aux joues. Ses grands yeux, luisants de plaisir et de crainte, implorent son tortionnaire d’achever son supplice. Répondant à sa requête, Lotfi accélère ses mouvements et sent monter en lui la giclée irrésistible. L’explosion est fulgurante, les deux corps étaient à bout. Allongés l’un contre l’autre, ils échangent un regard complice et se laissent aller pour un ...
    ... délicieux petit somme. Ce sont des coups sur la porte qui les réveillent. — Si Lotfi, l’heure est dépassée d’un quart. Tu restes pour la nuit ou quoi ? Lotfi reconnaît la voix revêche de la patronne. Il ne répond pas. Le taxi d’Ouarda la dépose au carrefour de la cité d’Ettadhamen, la banlieue la plus peuplée de Tunis. Le chauffeur refuse d’aller plus loin, craignant de se voir agresser s’il s’aventure dans les ruelles du quartier. Ouarda continue toute seule. Il est plus de minuit, quelques rares personnes sillonnent encore les rues. Arrivée chez elle, elle entre, ferme la porte. Dans un coin du petit hall d’entrée, à côté de la chambre, une petite radio émet un bourdonnement ennuyeux. C’est le seul engin intéressant dans la maison. Tout est vieillot, désuet. Une petite chaise toute crasseuse, une table basse pleine de taches. Une lampe au plafond, dénudée et poussiéreuse, émet une terne lumière blanche. Sa mère est allongée à côté de la radio, sur un tapis de corde effiloché. — Ouarda, qu’est-ce que tu fais jusqu’à cette heure ? lui dit sa mère.— J’ai dû remplacer Moufida pour la séance de nuit, elle a eu un malaise.— Et pourquoi tu ne réponds pas à ton portable ?— Ah mince, j’ai complètement oublié, il était silencieux.— T’as mangé ?— Oui, le patron m’a amené un sandwich. Bonne nuit maman.— Bonne nuit ma fille. Elle pousse la porte de la chambre, entre doucement dans la pièce. Ses deux petites sœurs dorment paisiblement sur un grand matelas posé à même le sol. Elles lui ont ...
«12...678...16»