Ouarda et la sensuelle lutte des classes
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
photofilm,
Oral
pénétratio,
yeuxbandés,
vengeance,
... votre part.— C’est très facile, tu vas voir. Je ne suis pas très exigeant. Tout ce que je demande, c’est de faire un peu de rangement, d’avoir un bon accueil et un sourire permanent ; c’est très simple, tu vas voir. Yasmine t’apprendra comment utiliser les logiciels, tout ça va venir, ne t’inquiète pas. Il faudra aussi te mettre à l’anglais : je travaille essentiellement avec des constructeurs d’automobiles allemands qui ne parlent pas français. Je vais te mettre sur des cours privés, ça va aller vite, tu vas voir.— Je ne sais pas si je vais y arriver, dit Ouarda en feignant une excessive timidité.— Oh, c’est rien, tu vas voir. Omar la fixe des yeux ; elle feint de baisser son regard puis, se rappelant qu’elle doit faire vite, elle ouvre légèrement les jambes. Omar remarque son geste et feint de ne pas s’en être rendu compte. Elle continue son mouvement ; il peut maintenant apercevoir nettement sa culotte blanche. — Bon, fait-il soudain, je te laisse avec Yasmine, elle va te montrer ce qu’il faut faire. Il se lève et regagne son bureau, appuie sur un bouton. La porte coulissante du bureau s’ouvre et Yasmine entre dans la pièce. — Yasmine, je te présente mademoiselle Ouarda qui va faire un stage d’un mois avec nous. Je te la confie. Ouarda passe toute la journée à contempler le lac. Elle aurait mieux fait de cueillir des pâquerettes ou donner à manger aux mouettes qui reposent sur le plan d’eau trouble. Yasmine répond de temps à autre à un coup de fil, et entre deux appels ...
... les deux filles s’observent en silence. Elles auraient pu entendre une mouche escalader un mur. Vers midi, Yasmine emmène Ouarda manger avec elle dans une cantine dans les parages, tout en silence et méfiance. Omar quitte le bureau juste après les filles et revient un peu après quinze heures en ayant l’air soucieux et pressé. Dès qu’il s’enferme dans son bureau cinq étoiles, il appelle Yasmine. Ouarda reste un moment seule à l’accueil ; elle sort sa boîte de maquillage et inspecte sa beauté. En sortant du bureau d’Omar avec un grand classeur de rangement dans la main, Yasmine prend ses affaires et dit à Ouarda : — Si Omar m’a demandé de remettre des documents à l’usine et puis de rentrer chez moi, je vais devoir m’absenter. Généralement, il se rend à l’usine à cette heure-ci, mais apparemment aujourd’hui il a une contrainte. Certainement une visite importante.— Et qu’est-ce que je dois faire ? lui demande Ouarda.— Tu peux quitter à dix-sept heures, ou demander une autorisation à Si Omar pour quitter plus tôt.— Non, j’attends dix-sept heures, c’est bientôt.— OK, à demain. Après le départ de Yasmine, Ouarda reste seule dans le bureau. Elle se regarde dans la glace et révise à nouveau son maquillage. Elle remet du rouge sur ses lèvres et arrange ses vêtements. Elle dégrafe un bouton de son chemisier puis, considérant que ce n’était pas assez, elle en dégrafe un deuxième. Soudain la porte du bureau en verre s’ouvre, et Omar l’appelle : — Ouarda, tu es toujours là ?— Oui, Si Omar.— ...