1. Une souris et des hommes


    Datte: 07/11/2019, Catégories: fh, fhhh, couleurs, vacances, pénétratio, Partouze / Groupe init,

    ... l’exotisme, quand bien même ce serait avec un sumo. Et à la réflexion, je me demande si mon subconscient n’a pas anticipé ce choix… Peut-être suis-je portée vers les gros : Greg lui-même n’est pas un modèle de minceur. Le Noir devine que je suis consentante ; il délaisse ma cuisse, m’étreint et s’empare de mes lèvres. Sa langue m’envahit, véhiculant avec elle une saveur pimentée qui ne me déplaît pas. Je le laisse prendre la mesure du palais et passer la revue des détails : pas une dent ne manque, le voilà rassuré. Il ne me demande pas de lui rendre la pareille, et c’est aussi bien : je ne suis pas mûre pour prolonger les embrassades baveuses. Pendant qu’il m’embrassait, il a retroussé mon débardeur et découvert mes seins qu’il pelote avec une certaine vigueur. Ce n’est pas douloureux, mais pas agréable non plus ; je l’invite à plus de retenue, plus de douceur. Dès lors il se fait timoré, trop… C’est con un homme ! Si j’osais… Comment lui dire que je ne déteste pas un peu de brutalité, mesurée, ponctuelle… C’est compliqué, je ne sais même pas ce que j’aime. Un jour, il me faudra réfléchir à ce sujet. Par exemple, je prends mon pied quand on martyrise mes tétons. J’adore quand on les étire, les roule ou les pince sans ménagement. C’est pour moi une douleur tellement jouissive : orgasme garanti si elle est appliquée au bon moment. Mais si on va trop loin, trop vite, à contretemps, ou que sais-je encore… Ça fait mal, trop mal, ça gâche ; allez y comprendre quelque chose… Ce ...
    ... genre de chose est difficile à expliquer et plus encore à maîtriser, surtout avec un amant de passage. Si je suis à l’écoute de mes sens, je ne me fais pas pour autant d’illusions ; je n’attends pas d’Ibrahim plus de plaisir qu’il ne peut me donner : celui de l’incongruité, à coup sûr, et peut-être celui de la découverte. Espérer davantage est utopique, je le sais ; il faudrait que nos corps s’apprivoisent, et nous n’en avons pas le temps. Sur ces entrefaites, Ibrahim entreprend de m’ôter le débardeur. Docile, je lève les bras quand nécessaire. J’en profite pour dénouer ma queue de cheval et réarranger ma coiffure. Ce faisant, l’idée me vient : j’en rajoute un peu et brandis ma poitrine en appas ; il n’y résiste pas, y plonge le nez, suçote un téton, le lèche et le mordille alternativement. Pas mal… Il n’est pas manchot : dans le même temps il caresse mon ventre, la hanche, à nouveau mon ventre, le nombril. Ses doigts viennent buter sur mon dernier vêtement, glissent sous le cuir… Je pressens qu’il vise ce foyer que guignent les hommes. Sans doute est-ce le cas, mais auparavant l’homme prend le temps de déboutonner ma jupe. Il commence par la ceinture, puis le deuxième bouton, puis le suivant… et découvre que je suis nue. Il s’est raidi, je l’ai ressenti. J’aurais aimé en savoir plus, mais je ne peux voir son visage et son sexe n’est pas à ma portée. Son sexe ? Je ne sais pas trop à quoi je peux m’attendre ; mais l’exotisme aidant… Je pourrais partir en quête et satisfaire ma ...
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