1. La tentation de Jean selon Sainte Lydia


    Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, boitenuit, danser, douche, amour, noculotte, Oral pénétratio,

    ... moins sûr, d’autant plus qu’il a fini ma bouteille. Nous retournons sur la piste. Il est parfait maintenant, ses inhibitions sont tombées, il danse avec souplesse et se laisse porter par le rythme. Je suis aux anges. Il est un peu moins sage, mais déjà sans alcool, ses mains se baladaient un peu. Moi, je me sens devenir très câline. Après quelques tours de piste, je l’attire vers un coin plus sombre du local, vers une longue banquette où d’autres couples sont déjà enlacés. J’y fais asseoir mon amant, je l’enfourche et m’assieds sur ses genoux. Je me laisse glisser jusqu’à lui et l’embrasse goulûment, nos langues se livrent un furieux combat, je dois reprendre mon souffle. Il rit et me confie qu’amateur d’apnée, deux minutes sans respirer ne lui posent aucun problème, ce qui est bien pratique pour les longs baisers… Je prends une grande inspiration et je me jette sur lui pour un autre baiser. Lui, ne perd pas le nord, ses mains s’insinuent par les manches de ma robe et s’attaquent à mes seins sans défenses. Il les empaume doucement, les malaxe. Ses mains se referment doucement en se retirant pour pincer doucement les tétons, suivre du doigt les aréoles. Je sens mon ventre devenir feu, devenir eau. Il sait y faire, le bougre ! Profitant de la pénombre complice, je m’attaque à sa ceinture, puis à son jean’s que j’ouvre. J’en extrais le prisonnier qui y était à l’étroit. Je le caresse doucement. Il ferme les yeux, presse mes seins avec plus d’ardeur, me fait presque mal. Puis ...
    ... ses mains ressortent de ma robe, pour la retrousser et s’attaquer à ma culotte, et tombent sur ma peau nue, je n’ai rien en dessous. Surprise ! Son sexe sursaute dans ma main, durcit encore. Ses doigts partent à l’assaut de mon minou. L’alcool et l’excitation le rendent plus pressant. Les séances de rumba collés-serrés ne m’ont pas laissée indifférente et ses câlins m’excitent. Si j’avais porté une culotte, elle aurait été dans un bel état. Jean me triture en tous sens, n’hésite pas à entrer ses doigts et les ressortir pour les renifler avec délice, me les donne à sentir : je sens bon. Il me le dit. Ses mains se placent sous mes fesses et ses bras m’attirent vers lui. Message reçu cinq sur cinq. Je me laisse aller contre lui, soulève le bassin. Il place l’animal en position d’attaque et je me laisse descendre lentement, très lentement. Je vois que cette pénétration lente et excitante lui demande des trésors de self-control. Il respire lentement, concentré, se mord les lèvres. Je suis flattée de lui faire autant d’effet. Je me soulève à nouveau et enserre son gland à sa base. Il se calme un peu, il me lance un regard soulagé. Je sens trois petites pulsations. Il me rassure, maintenant tout est sous contrôle. Et je le laisse revenir au fond de moi. Les autres couples s’activent comme nous, à quelques variantes près, plus ou moins discrètement. Mais la musique et la pénombre permettent toutes les audaces. Une voisine, assise sur son partenaire, a déboutonné sa blouse et ses seins ...