1. La tentation de Jean selon Sainte Lydia


    Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, boitenuit, danser, douche, amour, noculotte, Oral pénétratio,

    ... se balancent en rythme. Je rappelle Jean à l’ordre d’une contraction, il a vraiment un faible pour les seins ! Mais je le comprends, le tableau est excitant. Ma robe ne s’ouvre pas et l’enlever serait un peu osé dans mon propre quartier. Je me contente donc de câliner Jean de l’intérieur en contractant en séquence mes anneaux vaginaux. Il se laisse faire, en caressant mes seins, à travers la robe, puis revient vers mon ventre pour doigter mon clitoris et taquiner mes petites lèvres en contact intime avec lui. Un orgasme me foudroie, je ne l’avais pas senti venir. Je parviens à ne pas crier, pas trop fort. L’orage passé, j’atterris doucement, le serre très fort dans mes bras. Jean, lui, est encore loin de son plaisir. Le couple d’à côté est passé à autre chose. Elle lui fait une fellation sans aucune gêne. Je m’aperçois qu’en plus de la pénombre les tables la cachent aux regards des danseurs et des fêtards. Seuls les autres couples peuvent les voir. Je me libère de Jean, qui me regarde, visiblement frustré. Je me place à ses genoux pour le sucer. Un regard circulaire le rassure, son sourire revient. Alors que je gâte mon chéri, je vois la voisine en grande discussion avec son homme, un grand type à la tête rasée, genre Mister T. Puis elle vient me trouver et me dit en lingala : — Mon ami demande si vous voudriez vous joindre à nous pour une partie à quatre. J’en avise Jean, qui décline : — C’est de toi dont j’ai envie, pas d’un simple plan cul. Mais remercie-les pour la ...
    ... proposition. La réponse n’est pas du tout du goût du malabar, il en prend ombrage et vient vers nous, l’air furieux. Il titube, il est ivre. Il s’adresse directement à Jean en tschiluba, le dialecte du Kasaï. — Ma femme n’est pas assez bien pour toi ? C’est ça ? Tu n’es qu’un petit blanc raciste ! Le fixant dans les yeux, d’un ton glacial, Jean lui répond dans sa langue : — Que ta copine et toi soyez chinois ou martiens, ne change rien au fait que je veux rester seul avec ma femme ! Il a dit « ma femme », alléluia ! Après un moment de surprise, il s’attendait sûrement que je traduise d’abord, le malabar lève la main sur Jean, toujours assis avec son jean’s ouvert, vulnérable. Je me prépare à me jeter toutes griffes dehors pour sauver mon homme, mais d’un mouvement vif, Jean saisit le gars par un doigt qu’il tord. L’homme est tétanisé par la douleur, arqué en arrière. — Maintenant, je te fais seulement mal, mais recommence et je te casse non seulement le doigt, mais aussi le bras, lui lance-t-il, toujours en tschiluba.— C’est bon, j’ai compris, mais lâche-moi, ça fait trop trop mal ! supplie le gaillard bien penaud, maintenant.— Tu vas nous foutre la paix ?— Oui, oui, on s’en va ! Jean le force à se tourner et le libère enfin. Sans un mot, le couple s’éloigne et quitte le local. Personne n’a remarqué l’esclandre. La musique a couvert les cris. Je suis toute tremblante, bouleversée. Jean me sourit et me caresse les cheveux : — Merci d’avoir voulu prendre ma défense. Tu es une femme ...