Examen
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
médical,
cérébral,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
délire,
humour,
... aujourd’hui. Il a frappé fort. — Ça commence là. Il s’arrange souvent pour que ça commence à un moment logique et donc, depuis que je suis en caleçon, le film s’est mis en branle… Enfin…— Ça va, Monsieur V… Poursuivez. Ne vous interrompez pas.— Bon, ça commence là donc. Je suis étendu devant vous, aux trois quarts nu et j’ai une histoire à vous raconter. Dans cette histoire-là, je suis aussi étendu sur cette table parce que, vous voyez, les films s’entrecroisent et s’imbriquent comme des poupées russes. Mais je m’y retrouve quand même. L’histoire que je vous raconte, celle à l’intérieur du film, elle implique votre acolyte, Monsieur Gentil. Dans ce scénario-là, il est resté avec nous pour l’expérience et par conséquent, il subit lui aussi ma litanie et c’est de vous qu’il est question et il en est tellement bien question, de vous, que ça l’émeut, Olivier, et vous, ça vous monte à la tête aussi à la longue : d’un côté, un patient fou qui arbore sa virilité sans faiblir et de l’autre, un assistant qui n’est pas loin de faire pareil. Au milieu, vous. Le cœur du débat. Au début, c’est peut-être un geste qui lui a échappé. Olivier a effleuré votre jambe en tournant son tabouret d’un appareil à l’autre. Mais vous savez déjà qu’il bande et cette double attention sexuée devient doucement inquiétante. Vous n’êtes pas à l’abri d’un certain fantasme… La température monte dans tous les bas-ventres du cabinet et c’est le vôtre le plus raisonnable : vous décidez de mettre fin à ...
... l’expérience. Vous vous penchez pour éteindre l’EEG. Deux mains vous en empêchent, deux mains fermes, deux « non ! » décidés également. Non, on n’arrête pas l’expérience. 94 battements/minute. Cette partie du récit n’est qu’une mise en place, une manœuvre hypothalamique pour rendre crédible l’autre scénario, celui qui est vraiment destiné à accroître ma folie. Cela dit, mon bout de zizi n’a pas regagné le couvert du caleçon pour autant. L’érection dure, l’érection règne, l’érection fait mal… — On n’arrête pas l’expérience. C’est votre poignet gauche que j’ai saisi et je n’ai pas eu à forcer beaucoup pour poser votre main à plat sur mon ventre. Il est vrai que vous étiez en perte d’équilibre. Olivier a attrapé votre main droite, celle qui voulait stopper les machines, et il s’est collé à votre dos, vous a poussée contre la table, faisant preuve d’une virilité que vous ne lui connaissiez pas. Ça fond à l’intérieur de vous, malgré la peur. D’un côté, une queue en demande à portée de doigts. De l’autre, une pression non moins ferme, non moins suggestive, entre vos fesses trop vêtues. Et ces deux menottes ! Le fantasme tellement bateau que son efficacité vous met en rage. Vous n’avez plus grand-chose à faire de toute façon : vos deux mâles vont prendre les choses en main. Vous aussi, plus prosaïquement. La barre tétanisée de mon sexe en premier lieu. Je n’ai pas eu à vous guider pour que vos doigts glissent le long de la tige, l’enserrent en écartant le slip, l’enserrent encore, plus ...