Examen
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
médical,
cérébral,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
délire,
humour,
... étroitement. Ça vous excite qu’ils n’en fassent pas le tour. La taille ne compte pas, lit-on dans les magazines pour décomplexer les oiseaux modestes, mais, désolé les mecs, pensez-vous en dégageant encore le bel engin fusiforme, la taille compte et celle-là me convient ; c’est parce qu’elle me fait peur qu’elle me convient… Le docteur Gentil ne chôme pas quant à lui. Son nom devient inapproprié. Plaqué à vous, il a soulevé sans douceur le chemisier noir et attaque par le bas la poitrine sévèrement gardée. Ses doigts, dix au moins, font une abstraction totale du soutien-gorge pourtant élégant et sensuel, noir comme le reste. C’est moi qui en profite au gré des amples mouvements. Qu’alliez-vous fêter dans cette tenue digne et bandante : un enterrement chic ? Un anniversaire de mariage ? Les poussées brutales de votre assistant vous obligent à vous pencher en avant, petit à petit. Votre visage s’approche de mon cœur. Qu’en disent mes électrodes ? 115… 97 en réalité. Ce n’est toujours pas le vrai début pour moi mais Isabelle l’ignore. Tout en parlant, je scrute son visage impassible. J’ai envie de mordre dans son insensibilité. Enfin, pas moi ! Lui ! Tout à l’heure, peut-être… — Je voudrais voir vos yeux, interpréter leur éclat. Il faudrait pour ça que vous regardiez de l’autre côté car - est-ce du professionnalisme ? - vous n’êtes pas encore lasse du spectacle de ma queue animale qui respire dans votre paume, chaude comme un nourrisson. Un peu par dépit, je décide de ...
... libérer vos cheveux en envoyant valdinguer votre sempiternelle pince. Des doigts écartés, j’embroussaille le tout, découvre l’ondulation cachée de votre chevelure, je masse le cuir aux traits tirés. C’est sans intention. Quoique. Avec lui, y a-t-il vraiment des gestes sans intention ? Vous interprétez en tout cas cette main légère dans votre nuque comme un appel que je ne suis pas sûr d’avoir lancé. Votre visage achève de s’abaisser, votre joue s’étend sur mon abdomen. Pendant qu’Olivier torture littéralement vos tétons durcis, un gland vous regarde de son œil unique où perle, en suspens, une larme de désir. Cette chose arrondie et nue vous paraît soudain aussi expressive qu’un visage. Elle vous paraît malheureuse. Du bout des lèvres, vous posez un baiser sur la tête purpurine. La larme glisse son goût salé sur votre langue. Vos narines s’enivrent d’une odeur épicée, musquée. Insatisfaites, vos lèvres offrent un second baiser puis un autre. Le sexe s’émeut, se décolle du ventre, fait le beau sous vos yeux. Des baisers encore pour l’encourager et à chaque baiser, vos lèvres moins fermées, la bouche plus ouverte, le contact plus ferme, plus salé, plus profond. Derrière vous, on soulève votre jupe fourreau avec énergie. Devant vous, sous vos yeux, dans votre main aussi, l’animal est maintenant prisonnier de votre salive. Vos yeux se ferment. Parce que c’est nécessaire à votre abandon total : la cécité pour le bien des sens. Vous ne portez pas de slip, pas de string, rien qu’un ...