Examen
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
médical,
cérébral,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
délire,
humour,
... porte-jarretelles noir, à l’unisson. Voilà qui doit affoler le docteur affairé dessous votre jupe. Ça ne lui était pas destiné pourtant. Qu’alliez-vous fêter ?.. Aussitôt, des phalanges investissent votre chatte, s’empoissent de votre mouille, fouillent, dérapent sur votre clitoris, sans vraiment s’attarder, coulissent entre vos fesses, taquinent le petit trou, sans vraiment s’attarder. Les gestes sont imprécis, sauvages, mais ils vous inspirent. D’une égale sauvagerie, vous sucez le dard que vous trouviez triste tantôt. Il a l’air moins malheureux à présent. Il envahit votre bouche, gagnerait volontiers votre gorge, vous le sentez quand il heurte votre palais mais vous hésitez. Il est trop grand, vous le retenez. Ou vous vous retenez. Il y a une envie diffuse de tenter l’engloutissement, juste pour voir, pour le rendre plus heureux aussi. D’un autre côté, vous ne voudriez pas qu’il éclate. Ce serait dommage. Vos pensées s’interrompent soudain. D’un coup précis, Olivier vient rouvrir la blessure entre vos cuisses, enfonçant toute la force de sa pine jusqu’aux frontières utérines, vous arrachant un gémissement forcément étouffé. Le deuxième assaut vous semble pire encore. Olivier vous fend le ventre, cherche le cœur peut-être. On dirait qu’il veut vous tuer. Votre cerveau s’éteint… Vous voilà femme-objet. En arrière-plan, le moniteur s’affole quelque peu : 140 pulsations, tension à 17, signes de tachycardie. 120 en fait. Dans les poils frisottants de mon abdomen, le bout ...
... de ma verge se met à suer doucement une sève incolore. L’hypothalamus a fini de placer ses pièces sur l’échiquier subtil de mes désirs. C’est ici que commence la véritable torture pour moi. — C’est ici que ça commence vraiment… Le moniteur n’en peut plus de biper.130… 124… 145…"Vos yeux abandonnent leur observation, auscultent les traits hachés sur le moniteur, sourcils froncés, l’air soucieux. Vous vous levez, approchez de la table. J’arrête de parler, observe vos gestes pendant que les rouages de mon cerveau triturent votre version fellatrice.148… 133… 149…Vous posez une main sur mon cœur. Enfin, non, sur l’électrode qui vous relie à mon cœur. Je vous observe, attentive, belle. L’électrode semble bien mise. Vous saisissez un stéthoscope qui pend sur le côté de la table. Vous voulez vérifier par vous-même. Vous posez le rond d’acier froid sur ma poitrine et soudain, c’est la guerre qui envahit vos oreilles, un bombardement de tous les diables.154… 158… 145…D’instinct, votre main se pose à plat sur mon thorax comme pour apaiser l’organe qui disjoncte. Vos pupilles essayent de tout enregistrer : les infos du moniteur, le sexe congestionné toujours à demi prisonnier du caleçon, la main à plat sur mon sein, mon regard finalement. Oui, finalement, vous m’accordez vos yeux gris, pas si froids, liquides, pour constater que les miens sont au bord des larmes. Mon menton tremble un peu. Ça n’est pas censé aller aussi loin, vous dites-vous. Et à moi, vous dites :« Vous devriez jouir, ...