1. Einstein (13)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... passait le plus clair de son temps le long de la haie. Peut-être que derrière celle-ci un pelage feu, analogue au sien faisait de même. Elle songeait également qu’ils n’avaient pas échangé leur numéro de téléphone. Le dimanche soir elle percevait le bruit de la voiture qui repartait. Les filles rentraient chez leur mère peut-être ! — oooOOooo — Le film venait de commencer. Einstein couché sur la moquette avait dressé ses oreilles et tourné sa tête vers la porte. Il n’avait pas marqué plus que cela un léger bruit entendu à l’extérieur. Un chat ? Un animal sauvage qui devait passer, mais Maryse aussi avait cru entendre un bruit. Elle allait se lever de son canapé quand la sonnerie de la porte lui vrilla les tympans. Cette fois le chien était allé vers l’entrée. Derrière la porte, Guillaume. Il tenait d’une main un bouquet de fleurs et de l’autre quelque chose qui ressemblait à une bouteille de champagne. — Bonsoir ! Je vous dérange surement. Mais je voudrais remercier l’infirmière qui a si bien soigné ma progéniture. Tenez, de la part de mes deux trésors et ceci c’est pour... oublier nos deux solitudes. — Je... je regardais un film. Entrez ! Venez ! Je prends deux verres et mets vos fleurs dans l’eau. — Oui, oui faites, je ne suis pas pressé. J’ai toujours l’impression d’une déchirure quand les enfants repartent le soir. C’est... difficile, terrible aussi, ce grand vide. — J’avoue qu’au tout début de ma rupture avec Alix, mon ex petit ami je veux dire, ça a été assez compliqué ...
    ... aussi. Mais heureusement, il avait abandonné la boule de poils qu’il avait ramené à la maison ! Une chance que Einstein se soit trouvé là. — Donc vous avez aussi vécu une vie de couple ? Et ça n’a pas marché ? vhyvaagp — Je dois dire que comme votre épouse vous a trouvé, je l’ai aussi découvert avec une autre femme dans... notre lit ! Et je n’avais pas envie que ça continue. — Mais vous n’avez donc trouvé personne depuis ? Je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais, vous êtes... une jolie femme, désirable, je vous assure et les hommes doivent bien vous regarder non ? — Je n’ai pas envie de parler de cela. Buvons un verre puisque le champagne que vous avez apporté est frais. Une esquive toute féminine et par ces paroles, elle signifiait à son visiteur que le sujet était clos. Il n’en saurait pas plus. Guillaume venait de s’installer dans un des fauteuils qui faisaient face au canapé. La table basse les séparait. Dans son jean délavé, sous son pull léger, elle devinait la musculature imposante qu’elle avait entrevue lors de leur première rencontre. Lui de son côté détaillait avec soin, mais sans en avoir l’air, cette créature qui avait repris sa place sur le cuir fauve. Il ne le montrait pas et pourtant sous la jupe, sous le chemisier il imaginait des pleins et des déliés de toute beauté. Elle respirait calmement, sans crainte. Einstein veillait de toute manière. Les flutes s’entrechoquaient, pour trinquer à des pensées agréables. Il ne faisait aucun geste pour se rapprocher ...
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