1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    ... famille de Roland a le bras si long que mon témoignage aurait rejoint la poubelle.— Bon, je vais m’occuper de ton affaire. En attendant, tu te tiens à carreau. Car s’ils ont le bras long comme tu dis, et qu’ils voient qu’on remue la merde, ils risquent de s’en prendre à toi. Je les connais, ces gens, toujours à goupiller des plans à la mords-moi le nœud. * Lorsque je retrouve ma gonzesse, je lui dis… non, déjà je baise avec elle. Elle a le moyen d’adoucir les merdes qu’on voit sur terre, car cela me désole de savoir Daphné clamsée et de voir Adeline se morfondre. Après avoir bien joui l’un de l’autre, je lui dis que j’ai besoin d’elle pour éclairer ma lanterne. — Tu attends quoi de moi ?— Que tu fasses causer les autochtones de Pâquier. Là ou réside de mari de Daphné. Je sais que tu es très douée pour tirer les vers du nez, l’air de rien.— Je cherche quoi exactement ?— Tous les bruits qui courent sur la mort « accidentelle » de Daphné. Je remercie à ma manière cette brillante astiqueuse de lombrics en la baisant derechef énergiquement. Je la pénètre sans préliminaires en levrette. Elle frétille du popotin pour accentuer nos jouissances. Soudain, elle stoppe tout, me renverse, et là je me retrouve sous elle. Je pourrais continuer à la pilonner mais décide de lui laisser l’initiative. Mon plaisir est toujours intense, mais le danger de partir trop vite s’efface. C’est très sensuel, très suave, je suis sur un nuage. Sandra monte et descend sur ma tige dressée à l’extrême. Dans ...
    ... ma tête, j’imagine Daphné et Adeline qui baisent. Lorsque je suis sur le point de non-retour, elle se dégage à nouveau et fait redescendre la température de la cocotte-minute. Ce n’est que pour repartir de plus belle car elle vient s’empaler sur moi, mais cette fois-ci c’est dans son fion qu’elle dirige mon zob. Je ne suis pas long à déverser mon foutre au fin fond de son anus. Ce n’est pourtant pas un clap de fin ; ce n’est qu’un hors-d’œuvre. Sandra ne peut se résoudre à une seule saillie de ma part. Un peu plus tard, ce sont les nichons de ma cavalière que j’aspergerai de mon jus. * Pendant que ma douce va à la pêche aux informations, moi je fais un tour dans la région. Déjà, à la médiathèque la plus proche, je consulte ce que la presse locale a dit de l’accident. Sur l’édition locale du quotidien régional : « Un dramatique accident… La conductrice a perdu le contrôle de son véhicule… Elle est morte sur le coup. » DansLa République ouLe Républicain de quelque chose, l’hebdomadaire local, canard vivant plus des annonces légales que de la vente au numéro, il n’y a guère plus d’informations : « Pour une raison inconnue, la conductrice a perdu le contrôle de son véhicule, qui après plusieurs tonneaux s’est immobilisé dans une prairie… » Il y a tout de même une photo de la voiture totalement disloquée. Effectivement, Daphné n’aurait jamais pu sortir indemne de ce carnage. Je suis même dans l’impossibilité d’identifier la marque et le modèle du véhicule accidenté. Dans un second ...
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