1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    ... temps, je fais l’itinéraire qu’a dû suivre Daphné la nuit de son accident. Les traces de sa sortie de route sont encore bien visibles; pourtant quelque chose me chiffonne : même si elle fonçait, au moment de perdre le contrôle de son véhicule elle aurait dû freiner. Or, sur la route il n’y a aucune trace de freinage. Pour pisser, je me gare un peu plus loin et me déleste devant un fourré. Alors que je rengaine ma lance à incendie, je découvre sur le sol une douille de carabine. Je me retourne ; je suis en parfaite ligne de mire de la route où s’est produit le crash.« Et si Daphné avait été tuée avant que son véhicule n’aille valdinguer hors de la route ? » Il y a des chasseurs dans le coin, mais nous ne sommes pas en saison. Et puis cela ressemble plus à une douille d’arme de guerre. Je prends une dizaine de photos de la douille et de son emplacement. Il aurait été préférable que ce soit la gendarmerie qui découvre cet élément et non moi. Je ramasse cet élément avec des gants et le fourre dans un sachet. Dans un tel accident, une autopsie s’impose ; je ne connais pas un de nos légistes qui passerait à côté d’un tel truc : mort par une balle ou dans un accident. Même s’ils n’ont rien à voir avec les experts amerloques, ils sont costauds. Je téléphone à un de ces médecins que j’ai bien connu du temps que j’étais dans la maison : — Tiens, me lance vertement Nathalie, un revenant. Laisse-moi deviner : tu as les couilles trop pleines et tu as envie de te faire sucer ? Il est vrai ...
    ... que j’ai forniqué avec elle de façon très ludique. La baise avec elle, c’est une grande tranche de rigolade, comme l’attestent ces paroles qui me reviennent à l’esprit : — Tu crains quoi, que je te la coupe ou quoi ? Oui, je pourrais. Ne me donne pas des idées. Tu vas voir, je mords un peu, mais en général c’est OK. C’est pour que ça soit encore plus agréable. Allez, donne-moi ta queue, ça m’évitera d’être trop bavarde : on ne parle pas la bouche pleine, disait ma grand-mère… De toute façon, il faudra que tu me rendes la pareille, que tu me suces et lèches la motte, et que ta bouche soit pleine de ma mouille. Lorsque je me suis attaquée à sa moule, elle était grande ouverte, telle une grotte profonde. — Lorsque je suis excitée, je suis ouverte. Lèche, je veux sentir ta langue. Je m’aperçus, à cette occasion, qu’elle était femme fontaine. Elle gérait très bien cette caractéristique que certaines nanas trouvent gênante : — Bah, les mecs éjaculent ; pourquoi pas nous, les filles ? Bien qu’elle soit très libérée sexuellement, elle ne prenait qu’un plaisir modéré lorsque je la sautais. Si elle acceptait tout de même que j’insinue ma queue dans son con, elle refusait catégoriquement que je l’encule : — Où tu vas, là ?— Dans ton cul.— Mon troufion, tu l’oublies ! Donc mon réceptacle préféré devint sa belle et suave bouche qui avalait ma tige sur toute sa longueur et qui mordillait si délicatement que j’y trouvais du plaisir. Lorsque je déchargeais dans sa gorge, elle mettait tout un ...
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