1. Barbara et les Incas


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fhh, ffh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, avion, fsoumise, hdomine, double, sm, BDSM / Fétichisme

    ... leur sexualité. Rose, loin d’être humiliée, s’était au contraire épanouie dans cette relation. Sa vie familiale s’en était trouvée facilitée. Elle n’était plus frustrée de l’absence d’attentions de son mari, et celui-ci, au bout de quelque temps, s’était à nouveau intéressé à elle. Elle l’avait d’abord laissé languir, supposant (à juste titre) que ce retour était sûrement dû à l’arrêt de leurs relations par sa maîtresse. Puis elle avait accepté qu’il l’honore, à condition d’y mettre les formes et qu’il soit très attentif à préparer son plaisir par de doux préliminaires. Elle vivait désormais deux formes opposées de sexualité, et ce contraste la satisfaisait pleinement. —ooOoo— Tous ces souvenirs avaient émoustillé Daniel. Une érection bien marquée était venue gonfler son sexe qui se trouvait à l’étroit dans son pantalon. Il se concentra sur la dégustation de son fond de whisky pour changer ses pensées, et il envisageait d’en commander un autre lorsque sa secrétaire arriva. Il freina son envie de la questionner en se disant que d’ici le dessert, bien des réponses lui seraient données et il se lança avec elle dans l’étude de la carte. Le choix fut vite fait pour un plateau de fruits de mer : Rose raffolait des coquillages et crustacés, et Daniel garantissait la qualité des produits préparés dans ce restaurant. Elle demanda un blanc liquoreux – son vin de prédilection – et il en commanda pour lui un bien sec et fruité, accompagnement plus classique pour ces plats. Le repas fut ...
    ... agréable, tant par le cadre des lieux, la saveur des mets que par la diversité de la conversation. Il dégustait un mélange subtil d’ananas givré, de glace et de framboise lorsqu’elle se décida enfin à aborder la raison qui l’avait amenée à lui proposer cette soirée. — Daniel, ce que je vais te dire s’écarte de la forme jusque-là établie de notre relation. Sans que nous n’ayons jamais convenu de quoi que ce soit, je me suis jusque-là tenue écartée de ta vie personnelle, et je sais que cela te convient très bien. Mais j’ai pour toi un très grand respect et une immense affection. Rassure-toi, je ne veux pas changer la forme de nos rapports : elle me convient très bien comme ça et je pensais jusqu’à maintenant ne rien modifier ; mais, depuis quelques jours, je me suis peu à peu convaincue que je devais exceptionnellement m’occuper de ta vie privée. Le professeur l’écoutait, les yeux écarquillés sans comprendre où elle voulait en venir. — Depuis quelques semaines, tu es très différent. Tu restes souvent songeur, tu es moins gai, tu as moins de contacts avec nos collègues et avec moi ; dans nos moments intimes, tu es plus brusque, parfois brutal. Je ne dis pas ça pour me plaindre ; d’ailleurs, j’apprécie que tu sois vigoureux, tant que la violence reste un jeu contrôlé. Je t’en parle parce que ça fait partie de ton changement d’attitude, et que même tes élèves – qui t’ont toujours adoré – commencent à se plaindre de ton manque d’attention. Pour moi, il est facile de dater le début ...
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