1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... l’un à l’autre sous un parapluie. Une fois à l’abri, je lui répète ma satisfaction de l’avoir rencontrée, et qu’elle me manque déjà. Nos yeux pétillent, nos lèvres se rapprochent, je prends son menton de ma main et l’embrasse avec fougue. Son bras m’enlace pour mieux répondre à ce baiser, sa poitrine s’écrasant contre moi. Mon bassin part à la rencontre de son pubis, mon érection ne peut alors lui échapper, tandis que ma main descend sur ses fesses. Sa main quitte mon dos pour venir faire une estimation de mes attributs, prenant mes bourses à travers mon jean dans ses doigts, son pouce le long de mon membre. — Hummmmm, tu es long ! susurre-t-elle entre deux jeux de langue. Je l’implore de monter avec moi pour qu’elle se rende mieux compte de mon état, mais elle insiste en me disant qu’elle n’en a plus le temps, même si l’envie… en serrant ma queue bandée. La copropriété comprend un petit parc d’agrément avec quelques jeux pour les enfants, un bosquet d’arbustes et quelques autres plantes. Je l’implore de ne pas me laisser dans cet état, là, sous la pluie ! Sa bouche est si tendre à baiser, ses lèvres si pulpeuses… je lui prends la main et je l’attire derrière le bosquet, dans la pénombre, et lui propose de tenir le parapluie. — Tu sais ce que tu veux, petit Français. me lance-t-elle en me tendant le parapluie. Je vais t’en faire un bon, de Français ! Faire un Français, en Bavière, c’est tout simplement faire une pipe, vous l’aurez compris ! De ses mains libres, tout en ...
    ... m’embrassant, Elke dégrafe mon pantalon, et plonge enfin une main secourable dans mon caleçon pour y saisir ma verge tendue. De son autre main, elle prend mes couilles gonflées en charge. Alors que je tiens bêtement ce parapluie, je m’abandonne à cette merveilleuse jeune femme qui maintenant fait face à ma virilité… jaillissante. Sa main sur ma hampe, sans l’ombre d’une hésitation, ses lèvres m’aspirent le gland turgescent dans un prodigieux mouvement de tête, et fait tourner sa langue pour bien me caresser, jouant avec mon frein, puis ma couronne, dans un doux mélange de douceur, de chaleur et d’onctuosité… un écrin velouté. Son temps si précieux ne lui laisse peut-être que peu de liberté pour s’exprimer plus tendrement. Pourtant elle se montre délicate, s’autorisant juste quelques pauses autour de mon gland pour l’exciter, avant de me repomper de plus belle. Mes sens sont en émoi, ma seule main disponible est posée sur sa tête, l’accompagnant dans ses mouvements. Je ne joue pas la longueur, de toute façon elle se veut efficace de manière à conclure le plus vite possible. Je lui parle en français d’un ton suave, lui exprimant toute ma gratitude, ainsi que mon incapacité à lui résister. Ce qui est vrai ! Le sentant, elle me branle en pelotant mes bourses, me pompant maintenant de façon magistrale. N’y résistant plus, je m’abandonne complètement à cette belle bouche. L’image de ses belles dents blanches danse devant mes yeux alors que je retiens un cri qui trahirait immanquablement ...
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