1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    ... pas vu qu’il ne portait rien en dessous. Son pénis, turgescent, est devant mes yeux. Les instructions pleuvent : — Serre-le avec ta main… Doucement, fais glisser la peau pour dégager le gland… Bien ! Lèche et embrasse… Oui ! Prends-le dans ta bouche. Attention, je ne dois pas sentir tes dents… Caresse-le avec ta langue… tourne autour… Oui, comme ça, c’est bien ! Passivement au début, j’exécute chacune des consignes. Progressivement, je commence à percevoir ses réactions et à m’y adapter de moi-même ; le désir de l’amener au plaisir me fait prendre des initiatives qu’il approuve par des grognements de plus en plus rapprochés. J’arrive à le faire glisser presque entièrement dans ma bouche, le gland enfoncé dans mon arrière-gorge. Je commence à être fière de moi, je n’ai plus de haut-le-cœur… Après quelques minutes, je remarque des vibrations qui font tressauter sa queue dans ma bouche. J’imagine que c’est la fin, qu’il va prendre son plaisir… Il me repousse brutalement, prend son sexe dans la main et, dans un cri sourd, éjacule à longs traits. Je reçois son sperme sur la bouche, le menton et tout le corps, j’en ai même sur les genoux. Pour la première fois de ma vie, j’ai l’occasion de goûter du sperme. C’est salé-sucré, légèrement amer et, malgré la consistance visqueuse, ...
    ... ce n’est pas désagréable ; je m’essuie le visage avec mes doigts que je lèche. Il me regarde faire en souriant. — Je n’ai même pas besoin de te demander de le faire. Tu m’as rendu heureux, tu commences à savoir y faire, c’est bien. C’est extraordinaire, ce compliment me remplit de bonheur et vient effacer toutes mes frustrations. — Rhabille-toi et rentre au château. Tu reprends une vie normale sauf que j’interdis que tu portes des sous-vêtements. De même la nuit, tu dormiras nue. Je t’interdis aussi de te rendre heureuse toi-même. Si tu n’obéis pas, je le saurai : c’est toi qui me l’avoueras… Allez, va ! Je me retourne et ramasse ma robe. Tant bien que mal, je l’utilise pour essuyer les traînées de sperme qui commencent à sécher sur mon corps puis je l’enfile. Elle est chiffonnée, tachée et colle à ma peau à certains endroits : pourvu que je ne rencontre personne ! Au moment où je passe la porte, il m’interpelle encore : — Demain, tu me demanderas de t’emmener à la ville faire des courses. Tu t’habilleras comme tu veux mais, sans aucun dessous et de façon à être excitante. J’ai réussi à regagner ma chambre sans encombre. J’ai pris une douche et me suis mise à rédiger ce journal. Je suis juste descendue une demi-heure pour dîner. Il est 1 h 20, je vais me coucher. À suivre… 
«12...4567»