1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    ... contourne le corps du château par le nord ce qui me fait passer devant d’anciennes écuries transformées en garages et en logement pour le chauffeur. L’un des garages est ouvert et j’aperçois un homme, torse nu – certainement Adrien, le chauffeur – en train de lustrer le capot de la voiture. À la vue de cet homme presque nu – il ne porte qu’un mini short effrangé, en jean –, un trouble étrange m’envahit, comme si un poing me serrait l’estomac et les entrailles. Je l’observe, il est grand, bronzé. Sa musculature souple roule sous sa peau luisante de transpiration. Je suis surprise car je découvre un homme sous le chauffeur dont je ne connaissais que les yeux bleus, très pâles, dans le rétroviseur de la voiture. Alors qu’habituellement j’aurais dû passer sans m’arrêter, une « force » me pousse à m’approcher et à le saluer. — Bonjour Adrien, alors, encore au travail ?— Bonjour Madame. J’ai presque terminé.— Vous savez que vous êtes ici presque en vacances. Vous pouvez vous reposer… Ses yeux perçants me parcourent lentement des pieds à la tête, une chaleur brutale enflamme chaque partie de mon corps exposée à son regard. — Merci Madame. Je vais suivre votre conseil et en profiter. Je lui souris et, presque à contrecœur, je me détourne pour partir. Au bout de quelques pas, je passe devant son logement. Sur la terrasse, une table basse avec une revue d’homme et un fauteuil relax, style transat, semblent attendre leur propriétaire. Je continue à avancer, troublée par ces impressions ...
    ... inhabituelles chez moi. Pourquoi cet intérêt subit pour cet homme dont je ne connais que la nuque et les yeux ? J’entends la porte du garage qui est refermée ; il faut que je me retienne pour ne pas tourner la tête. Je me morigène : — Qu’est-ce qui te prend, ma fille ? Ce n’est que ton chauffeur. Bien sûr que c’est un bel homme, et alors… Arrivée au petit bois, je n’y tiens plus, je me retourne. Mais je suis déjà hors de vue. Je reste immobile, partagée, indécise, pendant un long moment. Et puis, c’est plus fort que moi, je reviens sur mes pas. Comme une gamine, j’avance furtivement en me cachant derrière les buissons. Je suis folle ! Arrivée à la lisière du bois, je l’aperçois. Il est couché dans le transat et lit sa revue. Son attitude est bizarre, on dirait qu’il tremble. Je m’interroge. Mais non, ce n’est pas possible ! Ma parole, il se masturbe ! Je suis assez loin mais j’ai encore une très bonne vue : son poing droit est serré autour de son sexe et fait de lents va-et-vient. Captivée par cette vision – c’est bien la première fois que je vois cela et ça m’excite terriblement – je voudrais m’approcher mais je suis arrivée dans l’allée, il n’y a plus d’obstacles derrière lesquels me cacher. Tant pis, je retire mon chapeau et le tiens derrière moi pour ne pas trop attirer l’attention et, essayant de me fondre dans les pierres de la façade, je me colle contre le bâtiment et je m’approche très lentement. Dans un moment de lucidité, je découvre que mon cœur bat la chamade, que ...
«1234...7»