1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... épurée, de la noblesse dans les matériaux, une grande sophistication des mécanismes, une BULGARI aux pignons dentelés également en Or pur. - Superbe en effet, je la prends… et celle-ci ? - Une édition spéciale CARA DELEVINGNE avec lunette en diamant 41 mn. - Elle me plait bien celle-ci, je prends également. Pouvez-vous me montrer une troisième ? - Vous avez celle-ci Monsieur le Marquis, la LANGE 1 de la vénérable manufacture saxonne Lange. Une pure merveille, son triomphe mondial en fait la pièce idéale pour l’intégration d’une complication très recherchée, avec l’affichage d’un deuxième fuseau horaire. Les propriétaires de ces élégants garde-temps ont toutes les heures du monde entre leur mains – et l’heure du domicile au poignet, où qu’ils voyagent sur la planète. - Sublime, je prends ! Toujours assis sur mon fauteuil, jambes largement tenues écartées, je regarde le Maître faire ces emplettes, et quelles emplettes ! Il ne se préoccupe pas du prix, il achète sans compter. - Bien, je vais en rester là pour aujourd’hui… Vous le savez Monsieur Philips, si je m’écoutais, je les achèterais toutes… - Qu’à cela ne tienne ! lui répond le bijoutier tout sourire. - Vous êtes ...
    ... un bon commerçant Monsieur Philips et vos articles sont toujours de la très haute qualité…. - Je vous remercie Monsieur le Marquis, mais venez s’il vous plait, passons dans l’arrière-boutique… (Le Maître me hèle :) - Viens, suis-nous ! Nous passons derrière le comptoir, et gagnons un petit couloir étroit. Le Maître et le bijoutier de renom entrent dans un bureau, je reçois l’ordre d’aller m’assoir sur une chaise au fond du couloir et d’attendre sagement. J’obéis ! Le lieu est sombre, presque glauque… Une simple chaise est posée là dans un recoin. De temps à autre, je vois passer des salariés de la bijouterie, tous avec un grand tablier gris, des loupes accrochées sur leur front. Ils ont tous l’air triste et semblent pressés, aucun d’eux ne fait cas de moi. J’attends sagement, jusqu’au moment où brusquement tout se précipite autour de moi. Sans rien comprendre, je suis bousculé, renversé, happé par deux molosses. L’un me tient les bras derrière le dos, l’autre me colle un mouchoir imbibé sur le nez. J’essaie de me débattre, en vain, les deux costauds sont bien plus forts que moi. Une odeur d’éther me fait brusquement tituber, je sens que je perds conscience… (A suivre…) 
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