1. Coupable


    Datte: 16/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mais elle l'a fait. Elle s'est penchée sur moi et m’a prise en bouche presque d'une traite dans un gémissement réfréné de ma part. Cela à encore une fois réveillé quelques choses en moi, une forme de violence latente car je lui ai bloqué la tête, maintenue sur mon sexe avant de lui baiser la bouche d'un coup de rein à la manière de ces films que nous connaissons tous. Je lui ait baisé la bouche jusqu'à ce qu'elle en pleure, qu'elle salive tant et plus, qu'elle soit rouge et essoufflé avant qu'elle ne recrache ma queue à la première occasion que je lui ait laissée. Je me suis branlé avec elle et elle aimait ça, je le sentais à mon autre main sur son entrecuisse. Elle étais de nouveau trempée. Je la traitais de chienne, de salope, je compris pour de bon ce maquillage, le rimmel qui coule, le rouge à lèvres qui bave... Une sorte de mise en scène auto-érotique de sa déchéance qui m'excite et me hante encore à présent. Finalement je n'étais qu'un jouet et non le maître dans cet absolu, elle avais mise en scène son plaisir, je n'en étais qu'une sorte d'acteur. Mais cela me plaisait, me décomplexait même de la traiter de la sorte. Je lui enfonçait presque jusqu'à la gorge, mais je l'ai cependant retirée avant qu'il ne soit trop tard, je l'avais senti monter mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche, pas aussi vite, pas avec toutes ces envies dans ma tête qui se bousculaient pour descendre sur mes reins. Je lui ait demandé d'autorité de s'empaler sur moi, je voulais satisfaire mon ...
    ... plaisir pour les poitrines, la sentir dans mes mains, dans ma bouche, la sentir contre moi, lui ordonnait de ne pas bouger, pas même le bassin pour me sentir encastré en elle, pendant que je prenais plaisir à suçoter ces seins, les lécher, les embrasser, les sentir frémir sous mes caresses et lui mettre une claque retentissante quand elle avait le malheur de désobéir et de bouger le bassin, ce qui se traduisait par des gémissements jouissifs sorti du fond de sa gorge. Parfois je laissais mes mains errer sur son fessier, constater les reliquats de mon précédent passage pour ces plus grands soupirs. Puis je me suis retiré d'elle et je l'ai poussée sur son canapé avec une pointe de force comme elle aimait en ressentir et en lui écartant les cuisses d'autorité (ce qui fut tout sauf difficile) je l'ai prise directement et sans ménagement, sans me concentrer sur sa jouissance, juste la mienne absolue et exclusive. Et pour l'une des rares fois de ma vie, je n'ai pas tenu longtemps, guère plus d'une dizaine de minutes avant de jouir en elle (et cette fois sans la capote que je n'avais même plus pensée à utiliser), une réelle explosion des sens qui me laissa vidé en elle et sur elle, jouissant par saccades avec le goût de sa sueur sur les lèvres car je mordillais ces épaules quand j'étais encore capable d'actes conscients. Lorsque je fut de nouveau capable de bouger, au bout de quelques secondes, je me retirais dans des gestes lents avant de revenir m'asseoir sur le canapé, toujours ...