Coupable - Histoires de Sexe

Coupable

... c'est là qu'elle à sourit. Juste une fraction de secondes, mais cela m'a suffit car là se trouvait la récompense pour mon âme. Alors, à ce moment, j'ai pût discuter avec elle. Pas de banalités, rien que du juste et du vrai, nous sommes revenus sur ce qui venait tout juste de se passer, je lui en ai demandé le pourquoi et alors elle m'a avouée, qu'elle voulait avoir cette sensation de n'être qu'un objet dans ces situations-là. J'avais réussi dans mes écrits à lui donner l'envie physique de se faire prendre au sens littéral du terme, de se donner à l'inconnu, de se donner à moi à cause de mes textes. Sans perversion, alors qu'elle me décrivait ce que mes textes avaient vraiment provoqués en elle, l'orgasme de l’écrivain me saisit, cette pointe d'excitation et d'autosatisfaction, cet onanisme spirituel qui physiquement se traduisit chez moi par une érection violente et brûlante, douloureuse comme mes amantes savent les apprécier. Elle aussi d'ailleurs. Mais surtout, nous avons parlés, pas de nos êtres, de qui nous étions socialement, juste de nos chairs, du fait qu'elle avait aimée avoir aussi mal, sentir son cul pris à sec m'expliqua-t-elle, la faisait “jouir de douleur”. Elle avait mal au point de suffoquer et elle en redemandait. Son seul regret pour ce soir avait été le préservatif mais nous n'avions pas le temps de nouer cette relation de confiance entre deux vrais amants qui nous aurait permis de peut-être nous en passer. Tous n'avaient pas eût ce réflexes me dit-elle et ...

... elle en rappelait parfois certains à l'ordre même si elle appréciait la sensation d'un homme jouissant directement au coeur de ces chairs. Elle se vivait par la douleur ma chienne, se sentait vivante et surtout heureuse quand elle terminait pantelante dans des poses indécentes, reliquats d'une baise intense. Masochiste comme je pouvais l'être aussi. Elle adorait obéir, sentir qu'on la dominait la rassurait. Sentir qu'un homme la défonçait littéralement la faisait se sentir belle, voir son maquillage couler à force de sucer, d'être frappée, humiliée, de pleurer, tout cela concourait à la faire se sentir en accord avec son corps. Se sentir belle. On à parlé, de mon attrait plus que certains pour les relations de domination, de soumission, le bondage, être attaché, les sexualités un peu transverses, mes fantasmes comme les siens, et comme chaque fois que j'aborde en détail ce sujet, cela ne fit que renforcer mon érection qui se fit douloureuse et là je m'adresse aux hommes, vous savez cette douleur lancinante et aigüe qui peut vous poussez très loin dans vos retranchements. Elle me regardait en souriant avec cette érection, et je me suis senti gêné mais tout autant excité. Alors, j'ai agît. Ce soir-là, je ne doutais plus de rien. J'ai allongé le bras et passé ma main sur sa nuque, l'ai regardé droit dans les yeux de l'air le plus détaché possible, avant de lui dire de venir me sucer puisqu'elle semblait n'attendre que cela. Et elle l'a fait. Je n'y croyais presque pas moi-même, ...