1. Coupable


    Datte: 16/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... elle. Elle n'était là que pour mon plaisir. Et j'ai aimé ça. Je m'en veux parfois mais j'ai aimé la traiter ainsi. J'ai aimé faire d'elle un jouet. C'était ce qu'elle voulait après tout et pour moi ce n'était plus qu'un jeu de rôle. Pas pour elle. Elle s'est faite plaisir. Moi je me suis fait du mal, car j'ai à cet instant fait tomber à bas bien des choses de ce que je pensais être de l'ordre du convenable dans une vie sexuelle, de ces barrières qui lorsqu'elles tombent d'ordinaires vous demandent un temps pour réfléchir, vous rendre compte que cela n'est pas digne de culpabiliser. Mais sur l'instant, lorsque tout cela s'effondre, vous vous demandez où vous êtes, et surtout, jusqu'où vous seriez capable d'aller aprés cela. La réponse à cet instant comme je l'entend encore résonner maintenant dans mon esprit : très loin. Mais nous, par là j'entend les deux êtres de chairs qui se livraient à plus que des assauts de langues, avons aimés ça. Je vais vous passer trois-quarts des insultes et des mots laconiques que nous avons échangés mais n'insistez pas, il n'y eut aucune manifestation de tendresse. La langue française c'est ce soir-là réduite à sa plus simple expression. Sa langue était douce quoique trop rapide, elle ne prenait pas le temps de me faire jouir, non, elle pompait, suçait, aspirait en me faisant gémir si bien que je me mordais la langue pour ne pas l'exprimer tout haut. Elle me rendit plus épais, plus excité que jamais. Je voulais désormais seulement jouir. Mais ...
    ... pas tout de suite. Je lui ait retiré mon membre sans cérémonie, un filet de bave nous reliait. Je me suis reculé avant de prendre son menton de la main, de la faire se relever d'une impulsion pour cette fois l'embrasser à pleine bouche par pur désir de sentir le goût de ma queue dans sa bouche, sur sa langue. Elle m'a ensuite prise par le sexe comme l'on tient une laisse et m'a conduit jusque dans son salon avec son canapé. Ne me demandez pas la déco, tout ce dont je me souviens c'était un intérieur assez simple, celui d'une célibataire parisienne à la place limitée. Devant ce canapé, je l'ai déshabillé, d'abord le haut puis le bas pour révéler un effort de lingerie, une petite culotte de dentelles noires que j'ai pris un malin plaisir à faire glisser avec mes dents une petite culotte inondée littéralement de cyprine, une odeur qui à elle seule aurait pût me faire jouir. Je sentais mes reins s'enflammer, l'envie, le désir de chair contracter mes muscles. Alors, je me suis fait violence et je lui ait ordonnée de défaire ma chemise. Elle voulait être jouet, la voici devenue servante, n'osais plus me regarder dans les yeux, ce qui me faisait du mal, mais avait un sourire qui me touchait. J'avais chaud et soif, je sentais ma tête tourner et elle m'a griffée le ventre pour me faire comprendre que je devais continuer mon rôle. Elle voulait être ma Chienne. Alors je l'ai prise comme une chienne, l'ai fait se pencher sur son canapé, la tête vers la porte de sa chambre, le bassin contre ...
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