1. Coupable


    Datte: 16/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Mais je vais vous avouez ce qui m'a fait tenir. L'instinct animal, l'envie brute et sexuelle. J'ai senti tout cela monter en moi et en quelques secondes, l'envie naturelle de me comporte en gentleman s'est évaporée, j'ai senti mon vernis de civilisation s'écailler, mes bonnes manières disparaître. J'étais ce qu'elle désirait, ce qu'elle voulait voir, ce maître à la main leste qui allait s'occuper d'elle. Je n'étais plus qu'une envie, une folie. J'ai alors vu dans ces yeux, son regard alors qu'elle me faisait signe d'entrer de la tête qu'elle voulait de moi. Que je lui plaisait. Surtout lorsqu'elle m'a mise la main au paquet de force : "Baise-moi ! Défonce-moi!" -"Détruis-moi !" Une telle violence dans ce propos, un tel regard sur soi-même... En temps normal, je ne me serais plus senti excité du tout mais plutôt désolé, un peu rebuté par une telle saillie. Mais je vous aient promis l'honnêteté. Sur ce coup-là, à cet instant là, je me souviens très bien de ma réaction. Je m'en foutais royalement. Je la voulais. Point. L'écrire m'est difficile car je vais employer des mots crûs, des mots vrais. Je ne peux vous faire l'affront d'une licence poétique pour un instant qui n'en avait aucune. J'ose espérez que vous me pardonnerez mais le plaisir de la lecture et de l’écriture se retrouvent aussi à travers l'expression vulgaire. Et avec elle, je l'ai été. Mon premier réflexe à été de tendre la main vers sa joue, un reliquat de tendresse comme toujours avec mes amantes mais là j'ai ...
    ... senti que je ne pouvais pas, que je ne devais pas créer ce lien affectif. Cela aurait même été à la limite plus vulgaire que tout le reste. Alors je l'ai prise à la gorge et lui ait fait lever le menton, j'ai défait ma ceinture de l'autre et ouvert mon pantalon. Je l'ai regardée droit dans les yeux avant de lui dire : -"Pour mon plaisir" Et je l'ai alors plaquée contre le mur de son entrée et refermé la porte avant de glisser une main chaude sous son haut dépourvu de soutien gorge, l'envie de toucher cette peau frémissante pour ensuite venir l'embrasser au creux du cou et enfin. Enfin. Mordre la chair. C'est ce qui à je pense finis par tout déclencher chez moi. Ce geste. Mordre. Je me souviens ensuite avoir sortit mon sexe tellement il me faisait mal d'envie, il bouillonnait. Elle l'a sentie brûlant contre son ventre et d'instinct, peut-être par habitude, s'est mise à genoux pour me prendre en bouche. Une pipe mémorable, vorace, de celles qui vous laissent cette impression d’irréel. Elle voulait ma queue, je l'ai bien compris. Désolé mesdames si cette image vous choque mais moi, c'est ce que j'ai ressenti dans chaque coups de langue, dans chaque centimètres qu'elle m'avalait littéralement. Alors j'ai empoigné ces cheveux et je lui ait imposé mon rythme, une rythme furieux et masturbatoire, libératoire. J'ai fait de sa bouche un sexe qu'elle a rendue humide de sa salive et pleine d'une langue gourmande. Elle avait parfois du mal à respirer lorsque je m'imposais trop longtemps en ...
«12...456...12»