Les confessions d'un amant - Histoires de Sexe

Les confessions d'un amant

... et tu commenças à te masturber affichant un sourire coquin et m’invitant à contempler le spectacle de ta jouissance. Tu avais, en une nuit, abandonné toute pudeur, presque tout compris à l’amour et ce qui excitait un homme. Tu fermais les yeux puis tu les rouvrais comme pour t’assurer que je te regardais toujours, je me rapprochai pour caresser les seins dont les pointes étaient toutes dures, puis l’une de mes mains vint entre tes fesses et j’en savonnai délicatement l’intérieur. Tu montas très vite, excitée par mes caresses sur ton petit cul, et tu poussas un cri avant de retomber dans l’eau. Je te souris, tu mis ta tête sur mon torse et je te serrai tendrement dans mes bras. Au sortir du bain nous nous séchâmes, et nous glissâmes dans le lit pour de tendres câlins et des jeux très intimes. Le lendemain, le jour filtrait au travers les rideaux, j’étais réveillé alors que tu dormais encore et je me redressai sans bruit pour saisir les traits de ton visage et les courbes de ton corps. J’écartai doucement le drap jusqu’en dessous de tes cuisses, et je me mis à contempler de longues minutes ta nudité éclatante d’une beauté toute naturelle. Je te trouvais vraiment belle, et je compris à ce moment précis le sens de la beauté au sens noble : c’est une vision totalement subjective qui laisse apparaître ce que l’on veut voir, et non un stéréotype fait de critères normatifs. De retour sur Paris samedi matin, je retrouvais Cécile que j’étreignis très fort, un peu honteux et surtout gêné de ne pouvoir lui avouer tout ce qui s’était passé. Nous avions convenus avec Christelle que nous passerions le week-end prochain tous les trois, et que Cécile aurait alors une belle surprise.