1. Les confessions d'un amant


    Datte: 20/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail douche, amour, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, tutu,

    ... à la présence de cet intrus impatient de déverser son amour en toi. Je commençais de longs va-et-vient, mes mains serrant tes fesses. Tu gémissais, et tu prenais ton pied malgré la sensation de te faire déchirer la chatte. Mes doigts qui parcouraient ta croupe glissaient entre tes fesses lubrifiées de ta mouille et je sentais ton petit cul se détendre sous la pression de l’un d’entre eux qui s’y introduisit naturellement. Tu poussas un petit cri, tes orifices se contractèrent et j’éclatai en toi, stimulé par les vibrations de ton plaisir orgasmique. Tu te laissas retombée sur moi, sans force, tout ton corps relâché, et nous restâmes ainsi jusqu’au moment où je t’ai basculé sur le côté cédant sous la pression de ton poids sur moi. Nous nous sommes endormis jusqu’au lendemain où nous attendait une journée qui nous apparut bien longue tant nos pensées étaient orientées vers tout autre chose que l’objet de ce séminaire. Le soir, après le dîner, nous nous éclipsâmes ce qui dut éveiller quelques soupçons chez certains de nos collègues restés ensemble pour finir la soirée. Nous voulions notre intimité, pouvoir nous embrasser, nous caresser et jouir pleinement de ces moments passés ensemble. De retour non plus dans ma chambre, mais cette fois dans la tienne, je me dirigeai vers la salle de bain. Elle était vaste et équipée d’une grande baignoire à bulles. Nous nous sommes regardés avec la même idée, le même désir, celui de partager un moment savoureux dans l’eau chaude. Je fis ...
    ... couler l’eau, enlevai tes vêtements, puis les miens et je te pris par la main pour te guider dans le bain. Nous étions l’un en face de l’autre, nous nous regardions, tes jambes étaient le long des miennes et en nous redressant, nous pouvions nous toucher, nous caresser. Tu pris le savon, tu te mis à me savonner le corps avec beaucoup de douceur, et je fus presque instantanément dressé. Tu te collas contre moi, ton ventre contre mon ventre, tes seins contre ma poitrine, le tout rehaussé de petits mouvements qui créaient une sensation délicieuse par le frottement de notre peau. Tu t’emparas de mon membre, avec plus d’assurance que la nuit dernière. Tu mis un peu de savon dans ta main et tu commenças à me branler délicatement faisant remonter un frisson tout le long de ma colonne vertébrale. Je serrais tes seins de plus en plus fort dans mes mains perdant presque toute volonté, abandonné à l’extrême volupté de tes caresses. Il ne te fallut que quelques minutes pour me mener au paroxysme du plaisir et j’éclatai littéralement entre tes doigts. Je me laissai retomber en arrière comme traumatisé par la jouissance que tu venais de m’offrir, et toi tu me regardais, souriante, radieuse de ce sourire qui fait tout ton charme et ta beauté. Maintenant c’était toi qui prenais les initiatives, j’eus soudain l’impression d’être une marionnette vouée à tes instincts révélés de femme désireuse de donner et de recevoir du plaisir. Toujours perdue dans mon regard, ta main se dirigea vers ton intimité ...
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