Mon voisin le polisson (2)
Datte: 02/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... désires être en définitive. Je te guiderai, te donnerai, te dresserai. Mais, et surtout, je serai celui qui t’aime plus que tout au monde. Ça répond à tes questions mon amour ? » « Au-delà que ce que je désirai. Maître. » $ »Viens dans mes bras mon bel ange. Aucune punition pour le moment si ce n’est celle de t’aimer à en perdre la raison. » Il me serra fort, je sentais son cœur battre la chamade, tout comme le mien. Peu importe son âge, c’est lui que je veux et personne, non personne ne pourrait me faire changer d’avis. La prude et angélique Mireille était définitivement partie, adieu et à jamais. Après ce tendre moment, il me montra une armoire à quatre portes. À l’intérieur, tout ce qu’ils utilisaient pour leur séance de plaisir. Je caressais un martinet au manche en forme de pénis énorme. Ses mains sur mes épaules, il m’avoua que tout ça lui avait beaucoup manqué. Sur une porte, une photo de sa femme nue, entravée, les seins zébré, les mamelons étirés vers le sol par de lourdes pinces. Il me les montra, j’en pris une que je fixais en tremblant sur mon téton gauche. Je fus électrisée par la douleur, m’appuyant contre ce beau monstre, mon écrivain. Il me la retira, embrassa mon mamelon. « Pas encore, tu n’es pas prête encore. On va y aller en douceur. Nous avons tout notre temps désormais. » « Le temps ne compte plus pour moi, seul celui passé entre tes mains l’est et je veux qu’il ne s’arrête jamais. » « Moi non plus. Viens lire, viens nous lire. » Sur la terrasse, debout ...
... devant l’écran, je continuais la lecture. Il m’obligeait, pour la toute première fois, à me branler d’une main. Docile, je me fis fort de lui obéir en tout dès cet instant. Pour que je ne tombe pas, il approcha l’ordinateur du mur, près de la porte fenêtre, il m’y adossa. Je lisais, parfois avec peine, le plaisir était là, tout proche et lui bandait sur sa chaise, bien en face de moi. J’aurai voulu me jeter à ses pieds, le sucer. Je devais lire, jouir seule, debout et lire encore. Je devenais folle, folle de désir pour cet homme, je devais lui obéir, je jouissais sans aucune retenue. Un cri de bonheur qui dû s’entendre loin à la ronde. Mais pour moi, il n’y avait que lui qui l’entendait et personne d’autre. Je glissais le long du mur, me griffant le dos. La douleur força mon plaisir à durer encore plus longtemps. Couchée sur le sol, je me suis mise à ramper vers ses pieds. Je les léchais, les adorais. Il se leva, me prit dans ses bras. Devant son lit, il m’avoua que j’étais la première depuis le départ de cette femme vers un monde meilleur. Il me coucha et m’aima comme quand il fit de moi une femme. Il faisait de moi une femme heureuse, comblée, remplie de lui, de son amour, de son foutre chaud. Jour après jour, il fit mon éducation. Parfois, cela entrainait des rires sans fins. Parfois, le plus souvent même des orgasmes merveilleusement démesurés. Sans le voir, il me modelait à l’image de son héroïne. Après mes vacances, je me divisais en deux femmes. L’étudiante studieuse ...