1. Le Beaujolais nouveau


    Datte: 12/03/2020, Catégories: ff, Collègues / Travail parking, fête, voiture, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, ecriv_f,

    ... carnation de blonde reflète la lumière. Elle a véritablement un corps splendide ! J’aimerais la photographier ainsi pour garder son image à ma disposition. Pouvoir regarder quand je le souhaite son visage, ses seins, son ventre et tout en haut de ses jambes interminables sa toison à peine fournie comme celle d’une petite fille. Après un long moment qu’elle utilise pour prendre des poses sous mes directives, à regret, je coupe le contact et elle revient vers moi. Elle avance avec une grâce féline qui m’émeut à en pleurer. Je me précipite hors de la voiture et la prends dans mes bras, la serre contre moi à l’étouffer. Notre baiser est long et passionné, fougueux. Quand je la laisse enfin, essoufflée, c’est pour la faire asseoir sur le siège passager, tournée vers l’extérieur. J’écarte ses jambes, me glisse entre elles, accroupie. Complice, elle me laisse faire, un sourire radieux sur le visage pendant que son regard d’eau claire trahit son désir. Mes lèvres se font caresses sur la peau nue de ses cuisses avant de remonter vers la moiteur de son sexe, emperlé de son envie. De la langue, je pars en reconnaissance de sa fente qui s’écarte à la première sollicitation pour me livrer accès à sa féminité. Une chaleur intense s’irradie dans mon ventre lorsque mes lèvres arrivent au contact de son ...
    ... clitoris. Je m’aide de mes mains pour le faire saillir et ensuite le solliciter de la langue en alternant de petits coups rapides et des lèches plus appuyées. Sous mes lèvres, son intimité ruisselle, me barbouille le menton. Elodie entre en vibrations, sa respiration s’accélère et un son rauque sort de sa gorge. Brusquement, elle me saisit la tête et l’appuie avec force sur sa vulve alors que le plaisir la submerge dans une crispation violente de tout son corps. Sans autre sollicitation, je la rejoins dans un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante. Terrassée par la violence de mon plaisir, à bout de nerfs, je ne peux retenir mes larmes. Dans un geste maternel, mon amante m’attire à elle, m’embrasse, me cajole : — Là ! me dit-elle entre deux baisers, c’est quoi ce gros chagrin ? Tu devrais être heureuse du plaisir que nous avons pris ensemble, non ?— Mais je le suis, ma puce, tu ne peux savoir à quel point ! Un long moment plus tard, calmée, je me rajuste pendant qu’elle se rhabille et nous repartons, enlacées vers l’ascenseur. Je ne suis pas prête d’oublier le cru 2004 ! Il offre un nez délicat avec, à la dégustation, une délicieuse présence de fruits rouges. Il a du corps, de la rondeur, une cuisse veloutée et une agréable longueur en bouche… Un cru exceptionnel, à n’en pas douter ! 
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