1. L'ascenseur


    Datte: 15/03/2020, Catégories: fhh, Collègues / Travail ascenseur, préservati, Partouze / Groupe fsodo, exercice,

    ... Elle va pour s’allonger mais je la retiens, la pousse face à la paroi. Il n’est pas nécessaire de lui faire un dessin ; elle prend la pose. Bras tendus en appui sur la tôle, torse penché en avant, jambes écartées. Je n’ai qu’à pousser un peu et mon pieu investit son vagin dans une glissade divine. Si je ne me retenais pas, je la baiserais tout de suite à un rythme d’enfer. Mais on ne se refait pas et on m’a appris – les femmes m’ont appris – que leur plaisir n’en est que meilleur si l’amant sait les prendre progressivement. Je m’y applique. Dieu que c’est bon… Mes doigts accrochent les tétons qui me servent de pendules. Elle gémit sous mes assauts maintenant plus rapides. Mon ventre tape sur ses fesses et mes testicules se prennent pour des balanciers. Je vais de plus en plus fort, de plus en plus rapide. C’est tellement violent que j’ai l’impression que même la cabine de l’ascenseur est au diapason et bouge en cadence. Un grincement. Une secousse. L’animal repart et aussitôt s’arrête. C’est pas vrai… il recommence sa plaisanterie ! Mais non : la porte glisse et s’ouvre sur le couloir. Nous sommes délivrés. Bien calé au fond de son vagin, j’entraîne Nadine sur quelques pas pour nous retrouver, dans la même position, mais dans la sécurité du couloir obscur. Il faut fêter notre délivrance. Une envie de marquer encore plus nettement l’événement. Une idée, une envie, un fantasme. Je prends les bras de Nadine, qui maintenant s’appuie de la tête contre le mur, pour amener ses mains ...
    ... vers ses fesses. « Va-t-elle comprendre ? Va-t-elle accepter ? Est-elle familière de cela ? » La réponse est là sous mes yeux. Ses mains, plaquées sur ses lobes, tirent sur la chair pour ouvrir un peu plus la raie et offrir son anus. Aussitôt je plonge pour le recouvrir d’une abondante salive. Je remonte, et pendant qu’une main s’agrippe à sa hanche, l’autre guide ma queue vers l’œillet. Le gland, véritable tête chercheuse, se cale, et d’une poussée ouvre le diaphragme musculeux. J’entre facilement et ma maîtresse lâche un petit cri. Cri de douleur, de surprise ou de plaisir ? Qu’importe ; maintenant, la machine est lancée et le pieu raide d’envie progresse sous la poussée de tout mon corps. Voilà, je suis au fond. Encore un cri, mais celui-ci est de plaisir, sinon elle ne tortillerait pas du cul comme une danseuse autour d’une barre. Ses mouvements m’excitent et je l’encule avec un plaisir décuplé. En plus, si une main est revenue en appui sur le mur, l’autre s’occupe de son clito. C’est vraiment un bon coup. Elle sait le petit plus qui augmente encore l’excitation. Oui, comme l’extrémité de ses doigts qui tâtent ma queue pendant que j’entre et sors. Aussi, comme ses paroles qui m’encouragent, qui me complimentent. Qui est indifférent aux : « C’est bon… Encore… Oui, comme ça… Tu m’encules bien… Ta queue est bonne… » ? J’espère que tout le monde est parti car elle n’a pas la jouissance silencieuse. Ma femme. Oui, je sais, ce n’est peut-être pas le meilleur moment pour parler ...
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