1. L'ascenseur


    Datte: 15/03/2020, Catégories: fhh, Collègues / Travail ascenseur, préservati, Partouze / Groupe fsodo, exercice,

    ... de ma femme, mais… Donc, ma femme est une silencieuse et maintes fois je l’ai encouragée pour qu’elle me parle pendant son plaisir. Mais non. C’est idiot, mais ce petit plus me manque. Là, je suis servi. Elle crie son plaisir et son orgasme. Enfin je peux penser à moi. J’arrache la capote et je crache la purée sur les fesses et les reins de Nadine. Son bureau est juste à côté. Nous reprenons notre souffle et constatons les dégâts. Chemise déchirée, corsage abîmé. La bouteille d’eau est déjà vide et nous avons une soif d’enfer. Dans ma salle de manip, nous avons un frigo avec des produits, mais aussi quelques bouteilles pour des pots improvisés. — Va nous chercher à boire. Pendant ce temps, je passe un coup de fil à mon mari pour le rassurer. Quelques minutes plus tard, alors que je reviens, elle termine sa conversation. — À tout à l’heure, chéri. J’ai déjà croisé son mari dans des réunions. C’est un gars sympa, pas comme sa femme. Enfin, avant ; peut-être qu’après cette nuit elle va changer. Je crois qu’ils n’habitent pas loin, une maison en bordure du campus. Nous étanchons notre soif et je me lève pour partir, mais Nadine ne semble pas vouloir. — Reste encore un peu. Nous avons le temps. Personne ne t’attend. Elle va baisser le store de la fenêtre, éteint l’éclairage du plafond puis s’approche de moi avec une sorte de gourmandise, me pousse contre son bureau et me fait asseoir dessus. D’une main, elle chasse les dossiers qui traînent et me fait allonger pendant qu’elle ...
    ... tire sur mon pantalon, suivi du boxer. Pour la deuxième fois de la soirée, elle s’attaque à ma verge, légèrement moins vaillante qu’une heure plus tôt. Mais l’ouvrage ne lui fait pas peur et elle se démène pour lui donner sa pleine vigueur. La fellation est un acte magique. Elle associe le visuel au toucher. Appuyé sur mes bras, je regarde cette femme qui enduit ma verge de salive comme si sa vie en dépendait. Son rouge à lèvres qui a débordé suite à nos baisers fougueux souligne encore plus cette bouche vorace de suceuse. J’ai la sensation que, chaque fois qu’elle libère ma queue de sa gorge, celle-ci a encore grandi, encore grossi. Elle se tortille pour enlever sa jupe et son chemisier. D’une main experte, elle fait rouler la capote sur ma verge. Elle aussi monte sur la table. Je me recule un peu pour qu’elle puisse s’installer sur moi, en cavalière prête à m’enfourcher. La lampe de bureau m’éblouit, mais déjà Nadine s’est empalée sur moi et s’allonge pour échanger de nouveaux baisers. Je la sens sûre d’elle, de son envie, bien décidée à prendre son temps et à son tour guider notre marche commune vers la jouissance. Il est évident que cette position correspond plus à son tempérament de dominatrice. Elle ondule du bassin, sa bouche joue avec mes tétons. Je devine son visage à travers le halo de cette satanée lampe que j’aurais dû pousser. Ce petit jeu dure, dure. C’est bon, mais j’aimerais qu’elle accélère. Pourtant, au contraire, elle cesse tout mouvement pour venir m’écraser ...
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