1. Comment se perdre dans un labyrinthe


    Datte: 23/04/2020, Catégories: fh, ffh, inconnu, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, délire, fantastiqu,

    On a dû vous le dire assez souvent, mais j’insiste sur le fait que cette histoire est totalement fausse, sauf les noms des lieux et des personnages qui, pour des raisons qui n’appartiennent qu’à mon chat à trois têtes, sont réels. Je m’appelle Sébastien et j’avais 25 ans au moment des faits, en 2000 précisément. Je vivais à St-Brieuc avec mon amie Céline (même âge pour ceux que ça intéresse). Cela faisait trois ans que nous avions une relation plutôt forte tous les deux. Aussi, avant de franchir ce seuil assez grand que l’on appelle mariage, nous avions décidé de vivre un bon moment dans le même appartement pour voir si on ne finirait pas par se taper dessus au bout d’une semaine. Céline étant étudiante en médecine et moi vivant de petits cachets entre deux pièces de théâtre, l’appartement fut difficile à dénicher. Plus dur encore fut d’acheter nos meubles. Lorsque nous nous promenions dans la rue piétonne St Guillaume, notre plaisir (un peu masochiste) était de faire du lèche-vitrines devant les magasins de meubles. C’est ainsi que nous sommes tombés devant l’entrée d’un nouveau bazar. C’était la première fois que je le remarquais et aucune publicité dans le journal local n’avait parlé de son ouverture. Depuis quelques années lorsqu’une enseigne tombait, elle était remplacée par un magasin de vêtements ou de chaussures (ce qui avait gravement diminué l’intérêt de la rue et le nombre de piétons). Nous fûmes donc agréablement surpris. Le bazar promettait « Toutes sortes de ...
    ... choses à bas prix », ce qui était exactement ce qu’on cherchait. — On y va ? proposai-je.— C’est parti, répondit Céline. Rares sont les magasins à jouir d’une grande taille dans la rue St Guillaume, mais le bazar était finalement plus grand qu’il ne le laissait voir. Lorsque je vis la pancarte « Vêtements à bas prix », je sus qu’on allait rapidement se séparer. — Je vais par-là, me dit-elle en me montrant la pancarte en question. Ben voyons. Elle me donna un rapide baiser et s’engouffra dans les rayons. Je restai un moment à l’entrée, pour regarder les pancartes qui indiquaient les rayons. Ils avaient une section informatique, alimentaire, hygiène, vaisselle… Comme j’étais en manque d’après-rasage (en général, je me barbouille de savon après mon rasage, ça coûte moins cher), je me dirigeai vers la section hygiène. Je fus assez étonné de me retrouver dans une salle ronde plutôt que dans un couloir. Le sol n’était plus recouvert de ce plastique moche qu’affectionnent certains magasins, mais d’un plancher sombre. Des myriades de produits jonchaient les présentoirs et, dans le fond, il y avait un comptoir. Je m’approchai de ce dernier, prêt à demander mon après-rasage, lorsque je vis des préservatifs. Plusieurs fois j’avais proposé à Céline de prendre la pilule, mais elle avait toujours refusé pour des raisons de santé qu’elle n’a jamais voulu m’expliquer. Nous en étions donc toujours au stade des capotes. Une jeune femme apparut derrière le comptoir. Elle devait avoir une trentaine ...
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