Comment se perdre dans un labyrinthe
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
inconnu,
magasin,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
délire,
fantastiqu,
... qu’il ne faudrait pas tarder. Je commence à avoir froid.— Je l’ai. J’ai pris du 16 aussi, on ne sait jamais. Dites-moi, vous avez débandé, vous.— Un sexe humide est plus sensible au froid, je suppose.— Et, si je te montrais ma petite chatte, ça te ferait du bien ?— On peut essayer. Elle sauta d’un bond sur son comptoir et écarta les cuisses. — Viens par là, mon mignon, et regarde sous ma jupe. En quelques bonds (pantalon et slip au niveau des mollets, c’est dur de faire de grands pas), j’arrivai jusqu’à ma vendeuse et glissai ma tête sous sa longue jupe bleue. Première impression : il y faisait frais et l’odeur était agréable. Pas trop forte, malgré l’humidité qui apparaissait sur son slip. Elle écarta encore un peu les cuisses, ce qui me permit de glisser ma tête jusqu’à son entrejambe. Avec un doigt, j’écartai un peu son slip et je pus ainsi lécher quelques poils pubiens. — Ça te fait de l’effet, j’espère, me demanda-t-elle.— Pas encore. Je mentais et il y a de fortes chances pour qu’elle s’en doute. Cependant, elle souleva un peu ses fesses pour que je puisse retirer son slip. — Lèche-moi bien. Ce genre d’encouragement était inutile, mais la voix m’inspira de nombreux fantasmes. Je reçus une claque sur les fesses, mais cela ne me détourna pas de mon ouvrage. Je n’avais pas eu de mal à dénicher son clitoris, mais, après l’avoir titillé un moment, je retournai faire le tour de ses lèvres. L’atmosphère, sous la jupe, était de plus en plus chaude et humide. Ma vendeuse ...
... bougeait de plus en plus sur son comptoir, puis une main vint appuyer sur ma tête et me guida. Le message était clair, il fallait que je me concentre sur son clitoris. Dressé comme il était, je n’eus aucun mal à le repérer. Un record pour moi, car, si j’ai toujours été agile avec mes doigts, ma langue manque cruellement de savoir-faire. — Continue, continue, c’est… Elle ne termina pas sa phrase. Elle en débuta une autre du même style et la laissa aussi en suspens. Cela devait ressembler un peu à « Oh ! tu lèches divinement bien. Je vais, je vais… ». Sa voix était hésitante, chaude et très excitante. Je n’avais jamais rencontré de femme commentant mes caresses. Bien sûr, j’avais connu des râles de satisfaction (Ben ouais, quand même !), mais ces descriptions de mes coups de langue étaient électrisantes. Ses encouragements (« Vas-y, bois mon jus, bois mon jus ! », avec un nombre incalculable de « u » au dernier mot) étaient une agréable nouveauté pour moi. Tout d’un coup, je me retrouvai coincé dans un étau. Elle venait de resserrer les cuisses en frissonnant. Peu à peu la tension se relâcha et je pus sortir ma tête de dessous sa robe. Ma belle vendeuse était torse nu et je pus voir sa poitrine. Je n’attendis d’ailleurs aucune invitation pour prendre ses seins dans mes mains. — Je crois que nous pouvons passer à l’essayage, dit-elle, toujours aussi professionnelle. Elle tomba à genoux, jusqu’à mon sexe, et l’introduisit dans sa bouche. — Pour que ça glisse mieux, m’expliqua-t-elle ...