1. Comment se perdre dans un labyrinthe


    Datte: 23/04/2020, Catégories: fh, ffh, inconnu, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, délire, fantastiqu,

    ... mouvements. — Je pense, dit Madame, que nous avons été plus vite que lui. C’est ce qui a dû le remettre sur les rails.— Chouette ! Me voilà nommé « réparateur de miroir ».— Je pense que vous avez été rudement bien rémunéré, marmonna Madame. Vlan ! Fin des hostilités, on retourne au vouvoiement. — Vous pensez beaucoup trop et vous oubliez que vous deviez me guider, rappelai-je.— Ambre ! Veuillez vous rhabiller ! Ce n’est pas comme ça qu’il faut accueillir les gens. Et vous, ajouta-t-elle en me regardant de haut, vous n’avez plus rien à faire ici, sinon faire fuir toutes nos clientes.— Eh ! Vous deviez me guider dans ce bazar !— Parle à mon cul !— Eh bien ça, c’est déjà fait ! répondis-je en ramassant mes vêtements. Il était inutile d’essayer de la convaincre de respecter sa parole. J’enlevai le préservatif de mon sexe ramolli et le jetai aux pieds de Madame en lui montrant mon majeur. Mais comme je l’avais dit, c’était déjà fait. Sans un regard pour Ambre, mes vêtements au bras, je quittai le rayon. Une idée me traversa l’esprit. C’était une bonne idée, tout au moins, une sacrée remarque. J’aurais pu, à partir de là, échafauder quelques théories sur ce qui se passait ici, mais, pour une raison inconnue, je la rejetai. Et l’oubliai. C’est dans le calme du rayon « manteau » que je pris le temps de m’habiller. Il fallait faire le ...
    ... point. Des caisses, j’étais passé à l’hygiène, et là on m’avait conduit vers les vêtements en passant par la vaisselle. Je sortais du domaine réservé à la lingerie, et je me retrouvais aux manteaux. Cette fois, il ne s’agissait pas de rayon, mais, bien entendu, de porte-manteaux. Ceux-ci étaient composés d’un pied unique de plus d’un mètre vingt de haut, se divisant en quatre branches qui formaient un X. Le pied de chacun d’entre eux tournait sur lui-même, ce qui permettait de faire venir les modèles à soi sans bouger. Pourtant, les porte-manteaux semblaient trop serrés les uns par rapport aux autres pour qu’une telle manipulation soit possible. Je marchai un moment le long du couloir qu’ils formaient. Impossible d’en voir la fin. — Je ne vais tout de même pas marcher toute ma vie, m’écriai-je. Mais personne pour me répondre. Je décidai alors de m’engouffrer entre les porte-manteaux. J’étais arrivé au niveau des manteaux en fourrure et je sentais les poils me chatouiller le visage. Il est fort probable, vu le nombre, qu’il s’agissait de fausse fourrure. J’avançai en me frayant un passage avec mes mains. Je ne pouvais pas voir plus loin que la longueur de mes bras et, dans cette direction aussi, les porte-manteaux semblaient ne pas avoir de fin. « Je suis damné, pensais-je. Con et damné à marcher dans ce bazar pour l’éternité. » 
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