Comment se perdre dans un labyrinthe - Histoires de Sexe

Comment se perdre dans un labyrinthe

... après l’avoir généreusement enduit de sa salive. Vous êtes prêt pour la taille 15 ?— Paré, répondis-je en me demandant si je devais retourner au vouvoiement après l’avoir traité de salope. Elle déroula le préservatif sur ma verge sans difficulté apparente, sauf à la fin lorsqu’elle rencontra mes poils. — Je préfère les hommes qui se coupent les poils, me dit-elle.— Désolé, je ne pensais pas avoir d’essayage de préservatif aujourd’hui.— Enfin. Ils ne sont pas trop longs au moins. Vous savez, c’est désagréable de sucer une queue lorsqu’un poil vous chatouille le nez. Voilà ! C’est fait ! Vous vous sentez bien dedans ? Franchement, je n’en savais rien. Si notre petit exercice m’avait fortement émoustillé, sa description de fellation ratée à cause de poils m’avait quelque peu laissé pantois. — On va essayer le 16 pour voir. Sitôt dit, sitôt fait. Ce qui avait été une surprenante aventure un peu folle devenait une mécanique pitoyable. J’avais encore de la chance qu’elle ne me demande pas de choisir la couleur. — Pour moi, dit-elle, c’est beaucoup mieux avec le 16. Puis elle me tourna le dos, se cambra en prenant appui sur son comptoir. — Il faut le tester maintenant. Bof… Pourquoi s’étonner ? Arrivé à ce niveau… Je relevai sa jupe et me préparai à l’assaut. Elle avait un petit cul appétissant et rebondi. Exactement ce qu’il fallait où il le fallait. Je m’approchai lentement, et, sans faire de gestes réellement conscients, je me retrouvai à l’intérieur de sa chatte. « Nous ...

... informons notre aimable clientèle que notre rayon jardinage sera ouvert à partir de 3 heures. N’hésitez pas à demander des renseignements ». Les haut-parleurs avaient raison : le jardinage était ouvert, mais ça aurait bien pu être le rayon cheminée, car je ramonais ma belle vendeuse avec plaisir. — Alors, demanda-t-elle, en soupirant, c’est la bonne taille ?— Ta chatte me convient parfaitement.— Je parlais du préservatif. Je lui envoyai une claque sur les fesses. — Pas de ça, grondai-je. Il ne faut pas déconcentrer le client !— Tu as raison, défonce-moi avec ta grosse bite.— C’est mieux. Mais dis-moi, c’est toi qui m’as frappé le cul, pendant que je te léchais la chatte !— Noooon ! C’est ma collègue.— Elle voudrait peut-être vérifier la taille du préservatif elle aussi, dis-je en accélérant l’allure.— Aaah ! Mets-moi un doigt dans le cul ! Un doigt dans le cul !— Appelle ta collègue alors !— Je peux pas ! Elle est occupée avec des clients ! J’enfonçai mon pouce dans son cul et elle poussa un cri de plaisir. Intromission assez courte, mais plus grosse, ça compense. — Aaaah ! C’est bon, mon salaud !— Des insultes ? Je ne trouvai que cette maigre excuse pour la défoncer encore plus vite, car je sentais que je n’allais pas tarder à éclater. Elle poussa un long feulement qui n’alerta personne dans le bazar. De toute manière, si cela avait intéressé quelqu’un, il se serait déjà fait connaître. Ce fut à mon tour de pousser un cri lorsque mon sperme alla s’écraser au fond du préservatif. Je ...