Comment se perdre dans un labyrinthe - Histoires de Sexe

Comment se perdre dans un labyrinthe

... d’années. Les cheveux blonds, longs et raides, les yeux marron. Elle était habillée d’une robe bleue, plissée, qui lui descendait jusqu’aux chevilles et d’une chemise blanche bien échancrée et assez transparente pour que je puisse remarquer que ses seins étaient libres de toute entrave. — Bonjour, je voudrais des préservatifs, s’il vous plaît.— Bien sûr, quelle taille ?— Heu… moyenne.— Plus précisément ?— Comment ça ?— Pour un meilleur confort, nous avons toutes les tailles. Vous ne savez pas le nombre de personnes qui déchirent un préservatif moyen et qui flottent dans un grand. C’est un peu gênant, non ?— C’est vrai. Mais je ne connais pas ma taille.— Vous n’avez jamais mesuré votre sexe ?— Non, jamais.— Vous êtes du genre à n’avoir pas fait de crise d’adolescence, vous.— Ben non.— Pourquoi ?— Par paresse.— Je vois. Je suppose donc qu’en ce moment vous bandez mou. Montrez-moi ça. J’aurais voulu dire : « C’est une blague ? » Mais avant que je puisse faire un geste, elle avait quitté son comptoir, déboutonné mon jean et sorti ma verge de mon slip. — J’étais sûr que ça la ferait réagir, dit-elle. À vue de nez, vous faites un bon 15 centimètres. À moins qu’avec un petit encouragement… Elle me branla un moment avec application, puis se décida à la prendre en bouche pendant que je regardais à droite et à gauche. — C’est une belle queue que vous avez là, dit-elle une fois la bouche libre.— Heu… Merci. C’est la première fois que je vois autant de professionnalisme dans un bazar. ...

... Alors ? À vue de bouche ? En fait, ma première pensée fut : « Elle est folle ». Après, je ne pensais plus. — Je ne voudrais pas que nous nous trompions de taille. Nous allons essayer du 15 pour commencer. Je vais te sucer ta belle bite pour que ça glisse bien. Cela ne vous gêne pas que je vous parle ainsi ? J’ai remarqué que ça excitait beaucoup les clients. Ils bandent plus dur.— Puis-je faire autant ? Je commençais à me prendre au jeu. Il était très agréable. — Si ça vous aide. Vous pouvez même être vulgaire.— Alors, suce-moi, salope ! ordonnai-je, mais ça sonnait mal. Elle le fit cependant avec beaucoup de douceur. C’était une fellation curieuse malgré tout. Entourée de bruit de caisse et de musique d’ambiance. Ambiance de magasin, pas d’intimité. J’entendais certains clients discuter de la marchandise, alors qu’une langue généreuse me procurait de chaudes caresses. Pour me mettre dans le bain, j’agrémentai ses bruits de succion avec une ou deux insultes pêchées dans quelques films X. — C’est bien, dit-elle au bout d’un certain temps. Il ne faudrait pas que vous vous laissiez aller avant d’avoir essayé nos modèles. Elle repartit derrière son comptoir et rechercha la taille qu’elle m’avait promise, me laissant seul, le froc baissé et la queue en l’air. — Vous faites souvent ça ? demandai-je, pour éviter de dire : « J’ai pas l’air d’un con comme ça ? »— Je préfère que les gens viennent en couple, c’est beaucoup mieux lorsque la femme s’occupe de son conjoint.— Heu… Je crois ...