Comment se perdre dans un labyrinthe
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
inconnu,
magasin,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
délire,
fantastiqu,
... me retirai et enlevai rapidement la capote de mon sexe. — Pourriez-vous nettoyer ceci ? demandai-je poliment. De nouveau, elle descendit au niveau de ma queue et l’engouffra dans sa bouche. Elle me suça si bien que je ressentis une nouvelle tension. — Vous prendrez une boîte ? me demanda-t-elle entre deux coups de langue.— S’il vous plaît…— Autre chose pour votre service ?— Franchement ? J’aimerais jouir sur votre beau visage.— Je crois que cela ne sera pas possible, Monsieur. Je dois me réserver pour d’autres personnes.— Dommage. Je me rhabillai, réglai la boîte de préservatifs et m’éloignai du comptoir. Une jeune femme, habillée comme ma vendeuse, assise par terre, se branlait non loin de là en regardant un couple copuler. Sans doute la collègue de ma jolie vendeuse, qui m’avait donné une claque sur les fesses. La femme, assise sur son amant, me regarda un instant et me fit un clin d’œil en portant un doigt de la main gauche à ses lèvres. Je répondis par un salut de la main, mais je m’éloignai de la scène. Il me fallait retrouver mon amie et sortir de ce bazar. C’est en m’éloignant que je compris que j’avais un problème. Il m’avait fallu trente secondes pour arriver jusqu’ici et là, devant moi, j’avais quatre chemins différents qui semblaient s’étirer vers l’infini. J’en pris un au hasard, et, après avoir emprunté deux ou trois autres passages, je compris que j’étais perdu. Hop là ! Un instant ! Les vendeuses devaient bien savoir comment s’y retrouver dans ce labyrinthe de ...
... rayons. Je fis immédiatement demi-tour. Comme j’avais été tout droit, ce ne fut pas bien compliqué. Bernique ! Le comptoir était vide ! Bien. Je n’avais plus qu’à déranger le trio qui continuait son essayage. — Excusez-moi, dis-je à la jeune femme assise. Je cherche le rayon « Vêtements ».— C’est de l’autre côté du magasin. Après la vaisselle, monsieur. Prenez le premier rayon à gauche, vous tournez à droite au rayon vaisselle et c’est la troisième à gauche. Vous voulez goûter ? ajouta-t-elle en me tendant ses doigts humides. L’invitation était trop gentille pour être refusée. Je m’agenouillai à ses côtés et me mis à sucer ses doigts. — Tu sais que t’as un joli petit cul, toi ? me dit-elle. Cette phrase me fit l’effet d’une décharge électrique. Merde ! J’étais perdu dans un petit bazar lui-même dans une rue piétonne en plein après-midi ! Il était à peine 2 heures et demie lorsque j’étais entré. En bref, mon cerveau recommençait un peu à fonctionner. Je me suis relevé, laissant le trio à son plaisir. Il me fallait retrouver Céline et sortir d’ici avant de devenir un obsédé du cul. J’avais trompé mon amie, moi qui plaçais la fidélité au plus haut niveau des vertus. À ma décharge, il faut bien dire que nous n’étions pas mariés et qu’il n’y avait que des accords tacites entre nous. Et merde ! Je n’arrivais même pas à me convaincre. Ma réaction avec la vendeuse m’avait beaucoup étonné. Ses cris et ses descriptions, pendant l’acte, m’avaient excité, mais je me demandais si j’aurais ...