Comment se perdre dans un labyrinthe - Histoires de Sexe

Comment se perdre dans un labyrinthe

... votre putain de miroir vous dit de baisser votre culotte et d’écarter vos fesses que je puisse vous enculer, vous me direz « Vas-y mon chou » ?— D’abord, je ne parle pas ainsi ; ensuite, il n’y a aucune raison pour qu’il le fasse. Le miroir montre le futur, pas vos désirs salaces !— Mes désirs ? Dites donc, qui a commencé à me montrer ce qu’il y avait dessous sa jupe ? Et son cul ? Et je dis, et redis : je ne bande pas ! Et ce n’est pas ton cul qui changera ça !— On peut arranger ça facilement !— Non, j’me casse ! J’étais décidé, mais ne bougeais pas d’un pouce. Qu’est ce que je pourrais bien trouver comme excuse cette fois ? La curiosité ? Pourquoi pas, ça ou autre chose… — Ambre ! appela Madame toujours dans la même position. Ambre, venez par ici, j’ai besoin de vous. Une jeune femme aux cheveux blonds fit son entrée. Elle avait le même costume que Madame. En tout cas, la jupe à la hauteur des chevilles, c’était signé « Le bazar ». — Madame ? demanda-t-elle.— Comme vous l’avez compris, Ambre, le miroir est encore en panne. Comme monsieur, d’ailleurs, qui refuse de m’aider à le maintenir en état de fonctionnement. J’ai donc besoin de vous pour une fellation.— Quoi ? C’était moi qui venais de crier. La dénommée Ambre n’avait donné qu’un petit signe de tête pour dire qu’elle était d’accord ! Sans blague ! Le temps que je reprenne mon souffle, Ambre avait déjà traversé le couloir et s’agenouillait devant moi. — Non, mais ça va pas !— Oh la la ! railla Madame. Elle va pas vous ...

... la bouffer !— J’ai comme même voix au chapitre, non ? J’étais sincère, M’sieur l’Président. Je ne voulais pas de ça, moi ! J’avais déjà trompé ma copine une fois, c’est vrai… Mais je ne voyais pas de raison de recommencer, moi ! J’avoue que je n’ai pas bronché, mais j’ai quand même mis les mains à la hauteur de mon sexe pour bien exprimer mon désaccord ! — S’il vous plaît, me dit doucement Ambre en écartant mes mains. Et c’est la que j’ai craqué, M’sieur le Président. Je vous prends à témoin, Messieurs Dames du jury… Messieurs surtout. Lorsqu’une jolie blonde vous demande, si elle peut vous tailler une pipe « S’il vous plaît », qui résisterait ? Argh ! Je suis coupable ! Tranchez-moi la tête. De toute manière, je l’ai perdue en entrant dans ce bazar… Pendant que je plaidais minablement ma cause devant ma conscience, Ambre avait déboutonné mon jean et l’avait baissé, mon slip avec. Une nouvelle fois, je me retrouvais cul nu, le sexe encore sollicité. Dans le miroir, j’étais seul, Ambre n’apparaissait pas. On ne voyait pas approcher sa bouche de ma queue qui, je le sentais, retrouvait une certaine vivacité. Une douce chaleur envahit mon gland qui fut pris en étau entre les lèvres d’Ambre. Le bout de sa langue commença à me chatouiller le méat, ce qui eut le don de faire grossir et dresser mon sexe. L’étau se desserra et Ambre relâcha ma queue avant de commencer une lente masturbation. J’étais presque aux anges. — Mais allez donc plus vite, Ambre, râla Madame. Ce n’est pas une ...