Comment se perdre dans un labyrinthe - Histoires de Sexe

Comment se perdre dans un labyrinthe

... bite de cristal que vous branlez, là. Sucez-le pour qu’il bande ferme et puis c’est tout.— La ferme ! dis-je, non sans avoir remarqué que son vocabulaire commençait à virer au rouge. Plus sensible au commentaire de sa patronne qu’au mien, Ambre reprit ma queue en bouche et la suça plus violemment. Tout à coup, je sentis ses dents glisser contre mon gland. « Glisser » est sans aucun doute un mot trop doux. Lorsque je repense à ses dents, je pense à une fourchette faisant grincer une assiette. J’eus un mouvement de recul que Madame perçut immédiatement. — C’est fou, ça ! À votre âge, vous ne savez même pas tailler des pipes ! Docile, Ambre reprit la lente fellation qui m’avait tant plus au début. — Continue, encourageai-je.— Non, non, cria Madame. D’ici je vois très bien que tu bandes comme un âne. Ambre, dégage de là avant qu’il ne te jouisse dessus, et laisse-le se branler. Décidément, Madame en perdait son latin. Je me branlai donc en essayant d’avoir la même mine que dans le reflet et brusquement le miroir se troubla. — Bon, décidai-je. Le réparateur ne va plus tarder. Je peux partir.— Vous croyez vraiment ? me dit Madame avec un sourire de requin. Je portai mes yeux au miroir qui semblait s’être arrêté sur l’image d’un film porno. Cette fois Madame et Ambre étaient toutes deux à me sucer, mais chacune de leur coté. Ambre avait reprit sa place, ma queue en bouche, et Madame de l’autre côté me léchait l’anus en écartant mes fesses à l’aide de ses deux mains. — Finalement, ...

... c’est moi qui vais t’enculer, ricana Madame. Tu as l’air d’apprécier en plus, mon salaud C’était sans doute ça le pire. Je ne voulais absolument pas que cette mégère me colle sa langue, que je devinais râpeuse, dans le cul. Mais en plus j’avais l’impression, vu la tête de mon reflet, que j’allais perdre, en refusant, une occasion de frôler le septième ciel. Ambre s’était déjà mise en position, et s’activait sur mon sexe. Un bon point pour accepter. Mais lorsque Madame s’approcha de moi, je me sentis un peu moins convaincu. Madame passa derrière moi et malaxa mes fesses. Il ne lui fallut pas longtemps pour insinuer un doigt dans mon trou ; mais profitant qu’Ambre s’octroie une pause, je sautai hors de leur étreinte. — Finalement, je n’aurai pas besoin de guide pour retrouver mon amie.— À propos de ton amie, dit Madame avec calme… Je me demande comment elle réagira en te voyant dans ce miroir en train de te faire défoncer le cul et sucer à la fois.— Mais t’es une vraie salope, toi.— Et, encore, tu ne m’as pas vue en action dans une partouze. Allez ! Reviens ici qu’on s’occupe de toi. Ne voulant risquer un coup d’œil possible de Céline, dans ce foutu miroir je me résignai à reprendre place. Ambre n’avait pas bougé et égale à elle-même, elle recommença sa fellation. Avec un rire de mépris, Madame me gifla la fesse gauche. — Putain ! criai-je. Tu vas me la foutre, cette langue, qu’on en finisse ! Sans ménagement, Madame écarta mes fesses et fourra sa langue sans mon cul. Elle était ...