1. Comment se perdre dans un labyrinthe


    Datte: 23/04/2020, Catégories: fh, ffh, inconnu, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, délire, fantastiqu,

    ... chaude et humide ; et si elle ne me procurait aucune sensation vertigineuse, elle me chatouillait beaucoup. Ambre, toujours calme et concentrée, ne se lassait pas par contre de me donner du plaisir. Elle passait savamment de la douce caresse avec la langue, au pompage féroce. Puis s’intéressait un peu à mes couilles pour revenir me lécher le gland. Céline - bien que loin d’être maladroite - n’avait jamais réussi à me garder sur cette ligne de plaisir sans me faire tomber immédiatement dans la jouissance totale. Avec Ambre, je jouais les équilibristes. Au dernier moment, alors que j’allais me laisser tomber, sans état d’âme, dans le plaisir, Ambre lâcha mon sexe. — L’image change, dit-elle. Je ne savais plus s’il fallait espérer une image ordinaire où je n’apparaîtrais plus, ou une autre séance de sexe. Vu que le miroir allait du plus sage au plus hard… L’image apparut, je me retournai vers Madame en souriant. Elle était pâle. — Qu’est-ce que tu attends pour te mettre en position ? demandai-je. Sans dire un mot, Madame se leva, se positionna bien en face du miroir et après m’avoir défié du regard, elle retira rapidement son slip, se mit à quatre pattes et rejeta sa jupe sur son dos. De son côté, Ambre, docile et silencieuse (à part son « s’il vous plaît », elle ne m’avait pas adressé la parole), s’assit près du miroir. Elle retira elle aussi son slip – bleu également, dites donc ! Fourni avec le costume, je suppose -, et écarta les jambes, prête à s’enfoncer deux doigts dans ...
    ... la chatte. À mon tour, je me préparai en ôtant ce qu’il me restait de vêtements. Dans le reflet, j’étais totalement nu. — En fin de compte, dis-je à Madame en me plaçant derrière elle, ton miroir me dit bel et bien de t’enculer.— Vas-y mon chou, me répondit-elle simplement La sodomie était l’un de mes fantasmes, et mon ex m’avait gentiment offert son petit trou lors d’une soirée bien arrosée. Bien qu’elle m’ait avoué qu’elle n’était plus vierge de ce côté-là depuis un moment et qu’elle adorait ça, j’avais pris soin de ne pas lui faire de mal. Céline, elle, ne voulait pas en entendre parler. À peine mon doigt à l’entrée de son cul. Sentant que moi-même je n’étais pas sûr d’apprécier qu’on me fasse ce genre de caresse, je n’avais jamais remis la sodomie sur le tapis. Mais avec Madame, c’était différent. Ce n’était même plus de la baise, mais une petite vengeance. Je déroulai une capote et m’enfonçai d’un coup dans sa chatte. Elle poussa un cri de surprise. — Mon cul ! Le miroir disait mon cul ! Salaud !— Ne t’inquiète pas ! Je vais m’en occuper. Dans un futur proche. Tout en gardant un rythme soutenu qui n’avait aucune volonté de lui donner un grand plaisir, j’introduisis un doigt entre ses fesses puis un deuxième et encore un troisième. Tous trois entrèrent facilement dans son petit trou. Elle ne devait pas m’avoir menti en parlant des partouzes. — Eh bien Ambre, dis-je en la regardant, il faudrait peut-être vous activer…— C’est que… dans le miroir, c’est quand vous enculez ...