1. Une conséquence du Jeu de la Statue


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... l’explosion. Je n’aime pas prendre la giclée en bouche, et je me retire juste à temps. Il pousse un grognement. Le liquide chaud et crémeux se répand sur mon menton, ma gorge et mes seins. Il me remet sur le dos et étale le sperme sur ma poitrine et sur mon ventre. — T’as bien travaillé, tu es douée, ma douce enfant. Rassure-toi, je vais continuer à bander. Par précaution, j’avais pris une petite pilule bleue avant de venir. Tu n’en as donc pas fini. Maintenant, tu vas me montrer comment tu te débrouilles avec une queue dans la chatte. Au boulot, vicieuse ! Je ne dis rien. Il s’est couché sur le dos, le mat fièrement dressé. Mon rêve va se réaliser : cette queue… cette bite qui me rend folle ! J’enfourche le sculpteur en la tenant pour présenter le gland à l’entrée de mes lèvres trempées et, petit à petit, je descends en m’empalant. C’est encore meilleur qu’en bouche. J’ai l’impression que ce membre est trop volumineux pour ma chatte. Je crains qu’il ne m’éclate le ventre et pourtant c’est plus fort que moi, je pousse jusqu’au bout, au plus profond, je le veux en entier. J’écarte encore les cuisses, et m’enfonce plus avant. Je dois être au bord de la rupture et pourtant non, j’y arrive, j’y suis ! C’est fabuleux ! Oh que c’est boooon ! Je remonte lentement puis redescend avec précaution. Une fois, deux fois, trois fois. La sensation est indescriptible. Mon vagin commence à s’habituer, à se dilater. Maintenant j’accélère le mouvement puis en change. J’en viens à donner des ...
    ... coups de boutoir en tapant mon bassin contre la queue qui me crucifie. — T’aimes ça, ma baiseuse, hein, t’aime ça ! Continue ! Tu la sens, ma bite, comme elle aime ta chatte ? Tu la sens comme elle est pour toi ! Pour toi toute seule ? Vas-y, sois encore plus salope ! Vite, va plus vite ! Encore plus vite, salope ! Je deviens folle. Je redouble de frénésie, je veux m’anéantir contre cette queue. — Branle-toi ! Caresse ton clito ! Je m’exécute en revenant au va-et-vient sur la hampe. D’une main j’écarte mes lèvres, de l’autre je titille mon clito à toute vitesse. Lui, me caresse le visage, m’introduit deux doigts en bouche, me les fait sucer, puis revient à la pointe de mes seins qu’il roule avec ses doigts humides. C’est trop, c’est trop à la fois ! Je sens les spasmes de mon anus et de ma vulve qui s’affolent, que je ne maîtrise plus. C’est l’explosion. Je jouis brusquement, en hurlant, complètement tétanisée. Un plaisir comme un tsunami, qui me déborde et m’emporte. Je m’effondre sur lui, son mandrin de granit encore dans ma chatte. Il me roule sur le côté, se retire et me place en levrette. Il passe derrière moi et m’agrippe aux hanches. J’en suis encore aux émotions de l’orgasme quand je sens d’abord son gland buter contre ma chatte puis sa bite surdimensionnée me pénétrer d’un seul coup, jusqu’au bout, avec un « han » de bûcheron. Son ventre vient frapper mes fesses. Puis c’est la cadence infernale. Mon front vient s’appuyer sur le matelas, mes mains se crispent sur le ...
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