1. Ce que je suis (2)


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Lesbienne

    ... devinais impatiente. Léa mordilla la peau sous les cheveux de sa copine puis s’aventura sur les rondeurs offertes à son attention. Elle enveloppa un sein de baisers, en aspira le téton qui s’allongea sous la langue agile, agaçant l’autre par de savantes caresses. – Hummm… gémit Aurélie. De ma position, je l’observai au premier plan glisser un doigt fébrile dans sa grotte. Le clapotis de l’intrusion trahit son excitation, elle mouillait déjà. Léa agenouillée sur les vêtements jetés à la hâte au sol renversa la tête en arrière, en admiration face à la masturbation improvisée. Moi aussi, confrontée à ma propre image dans la psyché de la salle de bain ou de ma chambre, j’avais découvert le pouvoir hautement érotique de l’observation. L’attente se prolongea. zammtw Aurélie poussa dans un jappement son bassin en avant jusqu’à poser son intimité sur la bouche de Léa, cette dernière ne recula pas, au contraire. Le nez dans l’épaisse toison sombre, embrassant la fente, elle y glissa la langue avec une avidité qui me surprit. Son amie gronda de ravissement, ce n’était visiblement pas leur première fois. La moiteur entre mes cuisses m’obligea à les presser l’une contre l’autre, le spectacle m’excitait malgré-moi, je mourrais d’envie de memasturber.honteuse d’avoir cru que le sexe entre nanas se résumait à un simple jeu de touche-pipi un peu glauque, je retins avec peine un « Oh ! » de surprise. La beauté primale de l’étreinte m’empêchait defoutre le camp. Le cunni, la plupart ...
    ... des mecs en parlaient avec grossièreté. Pourtant ce soir, je ne trouvais pas plus vulgaire de brouter un minou que de sucer une queue. Léa paraissait s’en régaler, attentive aux réactions de sa copine, appliquée à ne rien précipiter. Elle alterna les coups de langue superficiels et profonds jusqu’à ce que sa copine commence à tressaillir. Une main dans ma culotte, un doigt nerveux sur mon clito, j’essayais d’accompagner Aurélie dont le plaisir montait par à-coups. Le souffle court et les yeux fermés, elle ne contrôlait plus rien de son corps pris de spasmes. – Ohhh ! Ça vient… Le rauque de la voix me poussa à bout. Léa tourna légèrement la tête pour vérifier si j’étais encore là. Rassurée, elle dénicha le précieux bouton puis le pinça entre ses lèvres en poussantdeux doigts à fond dans la grotte trempée. Aurélie en perdit la raison. Les yeux hagards, secouée de convulsions incontrôlables, elle feula d’une longue plainte de tigresse blessée. Je la suivais dans la jouissance en mordant mes lèvres pour me forcer au silence sous le regard complice de Léa. Planquée à l’angle de la cabane, les sens chamboulés, j’avais attendu que les rôles s’inversent. Mais elles s’éclipsèrent, certainement désireuses de ne pas prolonger une disparition suspecte. J’allai m’installer en terrasse, bientôt rejointe par Jordan qui me présenta une bière. – Je te sens pensive, un problème de cœur ? Le tact de mon pote coupa le fil de mes pensées, l’image de Chloé se dissipa dans la nuit lyonnaise. 
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