Médecin dans une prison de femmes (III)
Datte: 01/10/2017,
Catégories:
h,
jeunes,
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... l’excommunication, je répondis : — Oui, mon Père, je me suis touché.— Aaah ! à la bonne heure ! s’exclama-t-il. Vous avouez ! Vous voyez, vous pouvez être pardonné et sauvé du péché, si vous ne cachez rien de ces turpitudes au Seigneur votre Dieu.— Oui, mon Père, je ne veux rien cacher.— Alors, racontez-moi, comment faites-vous ? Restez-vous debout ? Baissez-vous votre culotte ou faites-vous passer votre membre par-dessus, caressez-vous vos bourses, à quoi pensez-vous pendant l’acte, répondez !— Je reste debout, mon Père, au-dessus de la culotte, répondis-je, choisissant dans sa liste ce qui me paraissait convenir le mieux.— Bien ! Et comment le prenez-vous dans la main, avec deux doigts seulement ? À pleine poignée ? Et les bourses ?— Avec deux doigts, mon Père, sans les bourses, répondis-je, sans même me douter de ce qu’étaient ces fameuses bourses.— Hum ! grogna-t-il en soupirant. Quelles sont vos pensées durant l’opération ?— Je ne sais pas, mon Père, avouai-je.— Doux Jésus, vous êtes une forte tête, Jacques-André, mais j’extirperai le malin de votre âme, croyez-moi, soupira-t-il avec désolation. Mon fils, ne m’avez-vous pas confessé avoir eu des pensées impures en regardant ces images dégradantes ?— En effet, mon Père.— Malheureux, avouez que ces images ont éveillé la concupiscence qui sommeillait en vous ? Que vous les avez regardées avec délectation, que vous vous êtes empressé de vous toucher pour satisfaire vos instincts les plus bas ? Et que très certainement, ...
... vous avez répété ces attouchements plusieurs fois.— Oui, mon Père, je le confesse, répondis-je en pleurant.— Enfin ! Le salut est proche, mon enfant. Y a-t-il eu des écoulements ? Dieu, pourquoi n’as-tu pas entendu la détresse de l’enfant qui venait te parler d’un cœur léger et pur, pourquoi m’as-tu laissé seul face à ces questions, dont la bête comprit peu à peu la finalité, je sentais ses mouvements et son souffle dans mes poumons. Des écoulements ? De quoi voulait-il parler ? — Non, mon Père, balbutiai-je, en contenant un sanglot.— Pas d’écoulement ? Vous n’avez pas mené l’affaire à son terme ?— Si, mon Père, répondis-je stupidement.— Alors, vous vous moquez encore de moi et il va me falloir sévir, confessez donc que vous avez versé votre semence à même le sol, comme un animal lubrique, bon sang ! Vous n’allez pas me faire croire que vous ne savez pas qu’en vous frottant vigoureusement le membre, vous en faites sourdre la semence dont le créateur vous a doté pour croître et multiplier ?— Oui, mon Père, acquiesçai-je, mécaniquement, honteux de mes lacunes en botanique.— Vous avez aimé cela, comme ces n…sses lubriques dans la brousse, j’en suis sûr, le monde n’est que turpitudes, exulta-t-il dans un râle puissant.— Oui, mon Père.— Jésus, Marie, Joseph ! Il vous faudra faire sincère repentance, et une saine pénitence, pour vous préparer à devenir un bon Chrétien, un homme responsable, n’est-ce pas, Jacques-André ?— Oui, mon Père. Je sentais au ton de sa voix que la confession ...