La stagiaire
Datte: 07/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
nopéné,
hdanus,
init,
... m’occuper de moi. Entre larmes et plaisir, j’hésite sur la cause de ma profonde humidité intime. Je décide d’épargner ma culotte de plus d’outrage et l’enlève. Sur la table basse du bureau, Julien a disposé des coupes, du champagne, du foie gras et des toasts. — C’est ça un frugal repas, je prends !— À part le champagne, tout est maison. Moi, j’offre le plat, toi, tu offres le dessert.— Mais, je n’ai rien amené !— Si, je crois. Dis-moi, j’ai ouvert la fenêtre. Comme la chaleur risque d’entrer, est-ce que tu ne serais pas plus à l’aise dans ton kilt d’hier, si tu l’as amené ? Je prends mon kilt dans mon sac et vais me changer dans la salle de bains. En revenant, je sens la fraîcheur de l’air sous ma jupe, sans dessous. Le champagne est dans nos coupes, nous dégustons nos toasts de foie gras. Nos yeux se croisent en permanence, nous trinquons chaque fois que nous prenons nos verres. Dans ce silence complice, elle savoure et attend paisiblement ma promesse de dessert. Nous finissons posément nos coupes, Sandrine se laisse aller au fond du fauteuil, les yeux mi- clos, son kilt remonte dangereusement. C’est le signal pour moi. — Viens debout devant moi, mon beau et bon dessert. Aucune surprise dans ses yeux, le sourire a même grandi. Elle se lève doucement et met ses mains sur mon cou. — Mon dessert va de là à là, en passant par là, ici, ici encore, là encore et partout où je voudrai goûter ! Ma main a caressé ses cheveux, ses lèvres, sa nuque, ses seins, son dos, son ventre, ...
... ses fesses (ah, ce sublime cul !), ses cuisses, ses longues jambes et ses fines chevilles. Elle frissonne, mais ne dit rien. Son corps chaloupe doucement. Mon ventre est en feu, mes seins sont presque douloureux, les tétons turgescents, mes fesses tendues pour qu’il sente la fermeté sous sa main. Ses mains passent sous mon T-shirt en soie, il touche un sein puis l’autre, m’agace les tétons, approche sa tête et les embrasse, les mordille. Le temps s’arrête, il me tue. Une main est sur mes fesses, sous le kilt, puis les deux, il m’écarte, me malaxe, me pétrit. Sa respiration est plus lourde. Une main vient devant, sur ma cuisse et remonte doucement à l’intérieur. Les deux mains se rejoignent, une à l’arrière tient ma fesse et s’impose dans ma raie, un doigt venant titiller mon petit cul, l’autre main caresse mon pubis, presque rasé, et vient découvrir ma grotte. Très doucement devant, plus insistant sur ma raie, mon homme est en train de me découvrir, de prendre possession de moi. J’ai du mal à rester debout. Mon petit cul est agréablement surpris de cette visite, je détends un peu les fesses pour ouvrir le passage à ces doigts malicieux. Mon sexe est en folie, je ne l’ai jamais senti aussi trempé, ouvert, sensible à chaque geste. Mon petit bouton va exploser, dur comme un petit caillou. Je sens monter en moi un vertige que je ne connais pas. Je ferme la bouche pour ne pas crier, mes mains s’accrochent à ses cheveux. Je pars, mon ventre n’est plus que fièvre, jouissance, doux ...