1. La stagiaire


    Datte: 07/06/2020, Catégories: fh, hplusag, Oral nopéné, hdanus, init,

    ... liquide qui mouille ses mains et mes cuisses. Doucement, il me fait asseoir à sa place et se met à genoux devant moi : — Ton dessert, je peux le goûter avec la main, mais, pour lui faire vraiment honneur, il faut le déguster avec la bouche ! À genoux devant elle, j’admirais ce cadeau du ciel que mes doigts avaient découvert et fait frémir de jouissance. Je relevais son haut de soie et en profitais pour embrasser sa nuque, la titiller sous l’oreille. Douce peau, joli feulement, son corps se détend. Mes mains puis ma bouche investissent ses seins. Droits, altiers, ils me narguent. Je veux qu’ils me supplient de les sucer encore, de les mordre, de les aspirer, de léchouiller ces tétons bruns. Bientôt ses mains se rejoignent derrière mon cou, ses seins réclament, ils veulent plus, elle appuie ma tête contre eux, gémit. Je suis son nourrisson, elle est ma nourrice, ma force de vie. Elle crie de joie : — Je vais mourir, tu me tues ! Je prends ses hanches pour les avancer au bord du fauteuil, ma langue la titille de son cou à son nombril. Les mains sur ses genoux, je les écarte doucement en caressant l’intérieur de ses cuisses. Ma bouche entame la découverte de son mont de Vénus. Des frissons la saisissent dès que je la touche. Ma langue reste figée entre ses cuisses, goûtant, léchant, buvant, mordillant son tout petit clito et sa divine source. Ses cuisses m’enlacent, ses mains me pressent, me refoulent, m’attirent encore. Un cri rauque retentit, ma langue reçoit son bonheur, le ...
    ... mien. Je me délecte de son nectar. Il est doux, suave, parsemé de saveurs inconnues. Un dessert de Roi, je suis Roi, elle est ma Reine. Je tiens sa tête près de mon ventre, je sais maintenant que je peux vivre en paix, le bonheur existe, je l’ai senti en moi, sortir de moi et partagé. — Jeune fille, petit ange, un dernier dessert pour moi ?— Lequel ? Il me prend les hanches et m’installe à genoux sur le fauteuil, les jambes de chaque côté, les mains sur les accoudoirs. Il redresse mon torse et embrasse ma colonne de mon cou à mes reins. Ses mains soulèvent mon kilt, dérisoire rempart de ma pudeur. Plus rien ne bougeait, je n’osais pas regarder, mais je crois qu’il contemplait mon cul. Doucement, pour le provoquer, j’avançais et reculais mes fesses, un baiser est venu se poser sur une puis sur l’autre. Ses mains ouvraient ma raie, puis je sentis sa langue me lécher du bas du dos jusqu’à mon petit cul. Ses mains m’écartaient encore plus et sa langue piqua mon trou. Il me pénétrait, jouait, tournait et je sentais que j’allais encore m’y perdre. Je poussais mon cul vers sa langue, je voulais qu’il aille plus loin encore. Sa main vint caresser mon clitoris alors qu’il forçait encore plus sa langue dans mon cul. J’éclatais une nouvelle fois, criant mon bonheur. Je restais là, jambes écartées, tuée de plaisir, impudique au-delà des mots. Heureuse. Julien était sorti, il revient rapidement avec deux expresso : — Après le dessert, un petit café ? Nous le buvions en nous souriant. — Je ...
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